Mouahahaha, j'ai pensé au résumé! (enfin, mon téléphone y a pensé pour moi, mais j'avais pensé à le mettre dans mon téléphone, donc au final c'est moi-même qui me fait penser à moi-même par discussion temporelle temporellement bizarre...hum, bref, le résumé.)
Je résume, donc. Nous étions donc sur cette île dont je ne me souviens plus le nom (parce que j'ai pas la mémoire des noms, et accessoirement comme on y a échoué après tempête y'a pas de raison qu'on sache où on est, sauf si l'Egyptien dont je sais plus le nom nous l'a dit, mais ça non plus je sais plus.)
Bref, nous étions sur une île ou nous avions atterri par naufrage après des mois de galère (4 ou 6? disons 5.) après avoir été chaleureusement accueillis par une charmante maman crocodile et toute sa famille, qui nous ont aimablement offert leur chair en signe d'hospitalité (ainsi qu'un jeune guide portant le doux nom de Sakhamein, que ma femme me fasse un câlin si je l'écris bien, ou même si je l'écris mal parce que j'ai droit à un câlin), nous avons suivis le seul et unique chemin visible (puisque tout le reste n'était que forêt dense difficilement pénétrable) et qui menait, d'après les magnifiques dessins du Mj, droit vers le nord. Nous y avons rencontré de charmants gobelins, dont nous avons malheureusement dû refuser l'hospitalité (parce qu'on avait déjà mangé et puis en plus le gobelin c'est pas bon) accompagnés d'un Gobelour avec lequel nous n'avons guère eu le temps de faire connaissance (pour ceux qui n'ont pas compris, on leur a maravé la gueule.)
Ceci n'était qu'un vague et rapide rappel du début de nos aventures. Voilà venir la partie dont je me devais de faire le résumé.
Mais d'abord, un petit topo sur le "Nous". Car ça a quand même un soupçon d'intérêt. "Nous", c'est donc (ou plutôt c'était, vous verrez pourquoi plus tard) un halfelin cuisinier accompagné de son fidèle rat, Une damoiselle Elfe nouvellement accompagnée d'un crocodile, un demi-orc (probablement très moche et) un peu verdâtre (est-il vraiment utile que je précise sa classe?), un guerrier humain, et une guerrière naine (moi). Vous noterez que je n'ai cité aucun nom, et je m'en excuse, mais comme précisé plus tôt j'ai pas la mémoire des noms. Par soucis d'équité, je ne cite donc pas non plus le mien (le seul que je connaisse, et pour cause, il provient d'un bouquin. à moi que le demi-orque s'appelle Grunt, auquel cas je serais fière de ma nouvelle capacité de mémorisation

).
Ceci était donc le "nous" à la fin de la première partie. à noter que nous avions tous récupéré des armes, et que le demi-orque était (grâce au cuisinier) en possession d'un anneau magique qui lui évitait de ressentir...quoi que ce soit (faim, douleur, fatigue...).
Cependant, dès le début de la seconde, advint la disparition du cuisinier (l'halfelin, donc) que l'on n'a pas retrouvé (ou pas pu chercher pour une raison dont je ne me souviens plus?). Cela ne nous a pas empêché de continuer notre route (en même temps on avait pas tellement le choix, y'avait que celle-là) qui nous a mené de manière pas très surprenante (le meuhjeuh m'en excuse, ça semble être une suite logique pour une route remplie de gobelins) à un camps de gobelins. A ce camps, cependant, nous avons trouvé (chose ô combien surprenante) un ancien ami à nous (surtout les filles) avec qui nous avions eu tout le temps de faire connaissance sur la galère (et que j'appellerais l'Egyptien pour des raisons que vous savez déjà. et de toute façon, je l'appellerais pas longtemps). Nous avons su fêter nos retrouvailles avec joie, et le plus ravi en a sans doute été le crocodile, qui a ainsi eu droit à un deuxième déjeuner.
Après quoi, nous avons libéré de pauvres hères (que nous aussi eu l'occasion de voir un peu durant nos temps de galère).
Voici comment le "Nous" changea. Désormais s'ajoutait à notre petit groupe privé de halfelin un elfe qui brillait bizarrement, un barde gnome bizarrement silencieux et un peu grognon pour un barde (peut-être était-ce dû à cette drôle de blessure en forme de mâchoire de crocodile?) et un prêtre humain (et un roublard? chui sûre qu'on avait un roublard, même s'il restait discret sur ses talents. mais ché plus d'où il venait). Après les salutations d'usage, nous avons repris notre (la seule) route.
C'est ainsi que nous sommes arrivés à une drôle de grotte. Con, comme on est des gentils PJ (et qu'il n'y avait pas d'autre route, je l'ai déjà dit mais vous écoutez rien je suis sûre alors je répète), on est entrés dans la grotte. Si ma mémoire est exacte, elle était loin d'être conventionnelle. il me semble qu'à certains endroits les murs étaient d'un cristal de roche sombre, douteux, et probablement maléfique. Et puis, à un moment, le "toit" de la grotte se trouvait être un grand, immense, et vachement long fémur (d'un bestiau que j'aimerais pas rencontrer vivant, donc).
Et puis, nous avons débouché dans une salle (à peu près) ronde, où une main était gravée en relief sur le sol. Là, le gros machin verdâtre a eu une idée stupide que nous avons tous suivie et qui n'a rien donné (c'est d'ailleurs pourquoi elle était stupide, sinon elle aurait été extra mais je l'aurais jamais avoué. Pour ceux que ça intéresse, il s'agissait de se poster chacun sur un doigt de la main).
La pièce disposait de trois sorties (ou quatre, si vous comptez l'entrée, mais en pratique c'était pas une sortie, puisque c'était l'entrée. En plus, on pouvait plus la considérer comme une sortie, puisque des lames sortaient des murs du couloir pour le transpercer de part en part. Inutile, donc, de penser repasser par là.) Le demi-orque a pris à droite, accompagné du guerrier humain, les deux elfes ont pris à gauche, et la naine que je suis n'a pas dévié de sa trajectoire, accompagnée par le prêtre et le barde (et le roublard? où qu'il est celui-là?).
Ma pièce à moi était jolie et un magnifique tombeau de nain y était exposé. Mais c'était un tombeau de nain des profondeur (autrement appelés nain gris, que l'on peut définir comme potentiellement pas gentils du tout et en plus considérablement plus moches que la normale des nains, chose normale pour des méchants).
Bref, le barde a ouvert le tombeau et trifouillé dedans et là...oh! un escalier sous le nain!
Dans le même temps, dans les autres salles (plus moches que la mienne car les murs ressemblaient plus à de la chair qu'à des murs et il y avait du sang par terre. Donc les tombeaux qui étaient, si mes souvenirs sont exacts, également présents dans chacune d'elles, devaient sûrement être aussi beaucoup moins beaux), les murs se sont mis à saigner.
Nos camarades (qui avaient glandés jusque là) ont alors bougé leurs fesses pour nous rejoindre, sauf le verdâtre qui a encore eu une idée stupide (parce que totalement inutile), mais qui a quand même fini par nous rejoindre (sauf qu'il était devenu plus rouge que vert).
Et là, nous sommes descendus dans les profondeurs de la terre....
Après un très, très, très long escalier dans lequel le demi-orque a grillé tout le monde, nous somme arrivés à un grand, très grand, couloir. De chaque côté de ce couloir, il y avait des bibliothèques. Dans ces bibliothèques, il y avait également des pierres précieuses, et nombre de mes compagnons se sont servis (tous sauf moi, je crois. Et il y en avait 11 ou 14. Des pierres, pas des compagnons.).
Nous avons continué notre route. Longtemps. Jusqu'à arriver à une impasse. Un mur, sans autre chemin possible. Et dans ce mur, il y avait...je vous le donne en mile...mais non, pas une poignée, une tête voyons! à quoi servirait une poignée dans un mur, je vous le demande! vous avez des idées bizarres, parfois.
bref, on a discuté un peu avec la tête, après quoi elle nous a donné une énigme à résoudre pour ouvrir le mur. je me souviens plus de l'énigme, mais la réponse était sympa (hein? oui bon, ok, je m'en souviens plus non plus, mais d'abord c'est une phrase connue et c'était sympa quand même. Et puis faites un peu fonctionner votre cervelle, aussi, que diable! j'étais pas la seule à y être!)
Bref, le mur s'est ouvert et la tête s'est tue. Nous avons repris notre joyeuse aventure.
Enfin, nous somme arrivés à une sorte de marelle. Ou un échiquier de 5 cases sur 5 (et, vous avez vu,je retiens carrément mieux les chiffres! je devrais peut-être essayer de vous donner un chiffre!)
devant l'échiquier, sur une grosse pierre aussi sombre que tout ce souterrain, il était écrit un truc dont je me souviens de la signification mais pas des mots. Bref, en gros, ça parlait des cinq dieux dont il fallait retrouver les noms pour passer les marelles (ah oui, parce qu'il y avait une lettre par case!) et qui étaient probablement pas très gentils. Bref, le premier d'entre eux était Vecna (non, je m'en souvenais pas, j'ai recherché un dieu en cinq lettres commençant par Ve et finissant par na. je vous promet pas de retrouver les autres).
donc on a marché sur le V, le E, le C, le N et le A et on a survécu. Je sais plus si y'en a qui ont souffert d'autres lettres à ce moment là mais il me semble bien que non.
ensuite on a continué le couloir, à un moment y'a encore eu de petits escalier, et puis une autre marelle du même type où l'on pouvait encore écrire Vecna et sans tablette indicatrice devant. Là, il me semble bien que j'ai marché sur V, ce qui a très probablement eu un effet, mais je n'ai jamais ressentit celui-ci.
Après, vous m'excuserez, mais je vais devoir abréger. Parce que, mine de rien, ça fait plus d'une heure trente que j'écris, mais surtout parce que, de toute façon, ces couloirs étaient fichtrement répétitifs et je me souviens pas de tous les noms de dieux qu'on a "tapés" (Mais il me semble que Hizin les a tous notés, peut-être pourra t-il donc apporter sa modeste contribution à ce résumé ('grands yeux de chats suppliants') ou alors vous ferez sans, au moins jusqu'à mercredi. et puis vous aviez qu'à les noter aussi, tas de larves!)
Bref, je me dois quand même de préciser deux ou trois évènement notables. D'abord, le barde qui s'est fait balancer par dessus une marelle par une créature pas très douce dont je ne citerais pas le nom, et qui a malencontreusement et fort violemment atterrit sur une case (évidemment pas une bonne) en plein milieu de ladite marelle. Après quoi le piège de la case s'est déclenché (un lancer de couteaux à volonté, me semble t-il) et notre camarade s'est retrouvé en fort mauvais état (heureusement, la case était juste à côté d'une "bonne" case et on l'a ramassé en passant. Et il me semble qu'on l'a considérablement rafistolé par la suite, donc tout va bien.)
A noter également qu'un autre de nos compère s'est pris la fantaisie de marcher sur une mauvaise case d'où est sortit un gaz étouffant. Là encore, comme c'était une des première de la marelle, on a pu le retirer vers nous et il est même pas mort (le meuhjeuh est trop gentil)
Enfin, nous ne pourrions achever ce résumé sans parler de la marelle de Pélor (celle, donc, où il fallait écrire le nom de Pélor, bande d'ahuris du cerveau). Là, c'est notre cher demi-orque, qui s'est planté et qui est devenu, bien malgré lui, outrageusement gentil. Après m'avoir offert son "petit" pavois, et son épée au guerrier humain, il a eu la fantaisie de faire des câlins à tout ceux qui prononçaient le nom de Pélor (bientôt suivis d'une baffe quand la malédiction est devenue par trop évidente et la prononciation du nom interdit fort évidemment voulue)
Autre petit détail, le couloir se séparait en deux chemins avant l'avant-dernière marelle. La naine logique que je suis n'a toujours pas dévié de sa trajectoire, accompagnée par le sage prêtre, tandis que les autres ont pris à gauche. Au final, on a chacun eu droit à une marelle, mais pas avec le même Dieu, et l'on s'est retrouvés peu après chacun d'un côté d'une dernière marelle. Un autre couloir partait du centre de la marelle (à ma gauche et à la droite des autres) à partir de la lettre U (qui pourtant ne servait pas à écrire le nom du Dieu qu'il fallait écrire là, mais peut importe. On a marché dessus quand même. Enfin surtout moi. Je me rappelle plus ce que ça a fait, donc ça devait pas être très violent, ou en tout cas pas pour moi. Encore une fois, le meuhjeuh est trop gentil).
Enfin, nous sommes arrivés dans une autre salle, avec plusieurs tables sur lesquelles reposaient divers trésors (entre autre de nouvelles pierres précieuses parmi les quelle mes compagnons n'ont pas hésité à se servir. Quand à ma naine, elle n'a pris qu'un des cinq anneaux qui traînaient sur une table)
étant donné le désintérêt total de ma naine pour toutes ces richesses (et vu qu'en plus elle n'avait pas pris de grosse pierre précieuse au début) j'ai pas très bien suivit cette partie (pas taper pas taper) mais il me semble qu'il y avait des endroits, sur chaque table, faits selon toute évidence pour accueillir un des gros joyaux du début, et les gens y ont posé les leurs. Après quoi un super gros dragon probablement pas très gentil est sortit de je ne sais où en nous remerciant de l'avoir libéré et en promettant qu'on se reverrait, d'un ton qui laissait à penser que ce ne serait pas forcément une bonne chose pour nous.
Il n'y a qu'un couloir pour sortir de cette pièce, mais comme tout le monde se fourre les poches d'or et de diamants on l'a pas encore pris.
Voilà donc où nous en sommes arrivés, à priori tous vivants (je dis à priori parce qu'on a pas de nouvelles du cuistot, je rappelle).
Il me reste à vous préciser deux ou trois détails:
1) on ne m'a pas demandé d'être objective dans ce résumé, alors j'ai résumé les choses un peu comme le voyait ma naine. N'allez surtout pas vous vexer par les définitions parfois employées pour vous décrire (je pense surtout au verdâtre, puisque j'ai pas tellement parlé de l'elfe pas net qui brille (bah oui, il est pas net^^))
2)Les phrases pas près gentillettes non plus parfois utilisées pour parler aux lecteurs que vous êtes sont, je le crains, une déformation que j'ai acquise par un côtoiement trop régulier (et forcé) de mon prof de maths (autrement appel BruBru le Saint d'Esprit)et sont en fait tout à fait affectives (je parle des expressions du genre "bande d'ahuris du cerveau" et "tas de larves". pas de quoi se vexer non plus, donc)
3)Quand je dis que le MJ est trop gentil, vous pouvez considérer que ça fait partie des expressions du 1) ou du 2), je m'en fou, mais si le MJ devient moins gentil allez pas dire que c'est ma faute. Je nierais avoir jamais écris un truc pareil.
4)Je m'aperçois (au temps que j'y ai mis et à la longueur du texte) que ce résumé est considérablement long pour un résumé. Je me dois certainement de m'en excuser. mais aussi, vous aviez qu'à pas me le demander à moi, non mais! vous l'avez bien mérité!
5)j'ai parfaitement conscience que 5 est supérieur à "deux ou trois". se référer au 4)
FIN!
PS: merci d'excuser les fautes de frappe, mon clavier est un peu frappé, y'a des fois il tape pas. surtout les é. j'ai corrigé tout ce que mon correcteur automatique m'a dit mais j'ai pas le temps de relire alors merci de croire que les fautes horrible du genre "s'est" au lieu de "c'est" sont uniquement dûes à un manque d'attention et une non relecture.
EDIT: maintenant, j'ai relu, mais si vous voyez encore des fautes, considérez quand même qu'elles sont dûes à un manque d'attention dans ma relecture