Chroniques des Féals (Table pour la rentrée)

Bonjour aux derniers fervents utilisateurs du forum,

J'annonce dès à présent que je vais proposer une table de jdr pour la rentrée. Nous jouerons aux Chroniques des Féals.

Brève présentation pour ceux qui ne connaissent pas :

  C'est un jeu de rôle "médiéval-fantastique-horreur-survie". C'est la description la plus concise que j'ai trouvé. Vous incarnerez un individu qui a une relation privilégiée avec les Féals. Et évoluerez dans un monde ou se mêle, intrigues, politique, guerre et mysticisme. Très vite vous serez confronté à l'horreur du "M'Onde" et de l'implacable appétit destructeur du Néant.
  
  Les Féals sont des créatures considérées comme divines. Ils sont là physiquement sur le M'Onde, et tout le monde les connaît. Sauf peut-être le bouseux perdu dans son trou qui ne sort jamais de chez lui. Ce sont des animaux à la base, qui ont muté sous l'effet de la Source il y a très longtemps, et sont devenus intelligent et puissant. Ils ont élevé l'Homme au rang d'être civilisé et sont à la base de  toutes les civilisations connues. Ce qui explique leur rang de "dieu" pour vous.

  Vous représenterez chacun un culte d'un Féal au choix, et bénéficierez de leurs dons pour accomplir votre mission (mutations diverses).


N'hésitez pas a me faire savoir si vous êtes intéressé pour jouer sur ma table, plus vite on sera organisé, plus vite on pourra jouer le jour J.



Méfiez vous du Néant, il est traître et omniprésent. Il pourrait vous dévorer sans même que vous ne le sachiez.

Ca a l'air d'être sympathique comme programme !
Si on est dans du médiéval fantastique, c'est qu'il y aura des pouvoirs, des races autres qu'humains, ou encore que ça se passera dans une époque sans téléphone portable ?

Je suis tenté. :-)
J' ai dejà testé les chroniques des féals et l' univers est plutôt cool. Pour repondre à Yaerie, oui c' est un med fan mais peu commun. Globalement il n' y a que la race humaine mais plusieurs peuple suivant chacun un féal (dieu) particulier. Les pj entretiennent un lien particulier avec leur féal et developpent donc des pouvoirs en lien avec celui ci. Leur aspect physique s' eloigne de l' humain au fur et à mesure que ce lien ce renforce avec le féal par mimétisme. On joue des mimétiques.

Marsat a parfaitement répondu à ta question. Pour être plus précis, concernant les "pouvoirs" On peut les séparer en deux catégories : Les dons et les prières.

Les dons sont des mutations physiques ou pas, cadeaux des féals pour vous permettre d'approcher la perfection religieuse, spirituelle et physique qu'ils représentent dans les cultes humains.

Les prières sont des interventions divines. Ton féal tutélaire intervient pour répondre à ta prière, de la façon qui lui plaît (selon son interprétation de ta demande). C'est potentiellement très puissant, mais en abuser revient à abuser de ton féal. Ne jamais se mettre un féal à dos. Jamais.

Voilà, si d'autres question vous viennent, n'hésitez pas

salut, désolé de prévenir au dernier moment mais je ne pourrait pas venir ce soir, un empêchement personnel de dernière minute qui fait que je ne suis pas sur le mans ce soir.

Encore désolé et bonne partie à vous.

Pas de problème, je te fais un résumé de ce qu'il s'est passé :


Alors que le groupe d'anciens amis, partaient pour participer à la réunion des anciens de l'orphelinat "Sabot Fendu" en Chimérie, ils furent comme téléporté (c'est le l'impression qu'ils avaient en tout cas) ailleurs en une fraction de seconde.
Déstabilisés par ce qui venait de se produire, pris d'incompréhension au milieu de cette petite ville agitée, ils se mirent à enquêter sur ce phénomène aussi étrange que brutal.

Les bâtiments semblent démesurés, les gens excessivement réfractaire envers eux, le tout dans une ambiance tumultueuse à cause des attaques charognardes, sur un fond d'orphelinat en flamme, en train d'être purifié par un Eklesiarque de l'empire de Grif.

Le groupe s'est rapidement réfugié dans une taverne pour se réstaurer. Là, ils ont rencontrer deux personnages qui dénotent fortement de l'ambiance maussade et malsaine de l'endroit. Deux amuseurs publics très colorés et extrêmement amical. 
Après une absence assez longue du barman, ils décident d'aller voir en cuisine ce qu'il se passe. Ils rencontrent le cuisinier entrain de cracher dans la soupe qui leur était destinée et qui leur demande aimablement de foutre le camp en brandissant un hachoir.

De retour dans la salle principale, après quelques minutes la porte se dégonde dans un fracas du tonnerre. Deux chevaliers du Lion Blanc viennent de passer la porte et après un bref regard circulaire se dirigent vers les nouveaux venus. Ils leurs demandent de venir rencontrer l'Eklesiarque Hommael dans son bureau et les joueurs obtempèrent sans discuter.

Après avoir laissé leurs armes à l'entrée, les joueurs entrent et rencontre Hommael, assis derrière le bureau du Bourgmestre occupant ses quartiers comme si c'était chez lui. "Que faites- vous ici ?" leur lance-t-il d'un ton autoritaire. 
Arkarosos diplomate dans l'âme tente immédiatement de calmer la situation et de désamorcer la situation épineuse dans laquelle ils se trouvent.
Kvar le seigneur Léorde intervient mais avant même qu'il ai le temps de terminer une phrase Hommael l'interrompt en s'adressant au Draguéen : "Ferme-la ! Je m'adressait au personnes que j'ai convoquée, pas à leur chien."
Kvar ne pouvant supporter l'insulte proférée, entre dans une colère noire. Arkarosos a immédiatement réagi en l’assommant d'un coup de canne-dragon sur la nuque.
"Bien. Nous pouvons discuter à présent". S'en suit un échange sans intérêt débouchant sur la reconduite des joueurs à l'extérieur accompagnés de deux miliciens.




La suite arrive quand j'ai le temps.

Et donc ...



Suite à cette épisode, nos voyageurs spatio-temporels comme ils semblent le croire, remarquent une jeune femme au milieu des autres commerçants. D'une blancheur d'albâtre et de l'épaisseur d'un crayon. Se dégage d'elle une profonde bonté, presque palpable. Un gentil squelette tout blanc en somme.
D'elle, ils apprennent l’existence d'une cabane à l'extérieur des murs de la ville. Habité par une draguéenne et son enfant qui la fournissent en encens, réputé à tort selon elle comme étant une sorcière, une catin, une folle, un monstre, une psychopathe et bien pire encore.

Les joueurs décident d'aller voir, par curiosité principalement, mais surtout parce qu'Arkarosos, lui sait des choses, et s'est un minimum renseigné.

Arkarosos décide de prendre de l'avance, seul, et de mener son enquête. En arrivant sur place, à quelques mètres, il voit un petit garçon entrain d'écrire frénétiquement dans un grimoire aussi grand que lui.
Rapidement, le petit s'approche du Draguéen pour lui demander naturellement son nom, et commence à griffonner sur une nouvelle page pour transcrire tout ce qu'il voit. Ce petit tiens un langage très soutenu pour un enfant de 6 ans.
Soudain, la mère sort, l'air inquiète, appelle son fils "Sirri !" et voyant l'étranger, court pour s'interposer entre eux, canne dragon à la main en position de combat.

Arkarosos tente de calmer la situation mais le néant s'en mêle à son insu, déformant ses propos et déclenchant le combat.
En une fraction de seconde Lyvia, la mère, défait la garde d'Arkarosos et lui assène un coup violent dans les côtes, l'obligeant à mettre genou à terre. Heureusement elle décide d'arrêter son deuxième coup au niveau de la tempe, reprend ses esprits et permet à Arkarosos de s'expliquer.

S'en suit la réunion entre eux et le reste du groupe qui les a rejoint rapidement. 

Mais 5 minutes à peine plus tard, une odeur de Charogne se fait sentir au travers des murs et du voile d'encens draguéen.
Les murs pourrissent lentement, l'air devient irrespirable, des grognements gras et inhumains se font entendre. Et avant même que qui que ce soit ne bouge, la porte et la moitié de la façade s’effondrent pour laisser 6 énormes charognards entrer. Un grizzli paraîtrait plus petit sur ses deux pattes arrières. Des vers blancs se tortillent dans leur chair, des insectes entrent et sortent de leur orifices faciaux, l'air noircit quand ils respirent et le plancher se brise sous leur charge imminente.

Le groupe se défend comme il peut face à un adversaire bien trop fort, leur muscles refusent de répondre correctement face à la terreur. Et toutes leurs prières ne purent les sauver de l'incarnation du fiel et de la mort.
Après que le combat ait fait s'effondrer toute la cabane, qu'Evalie ait par mégarde transformé elle et tout les cadavres de ses compagnons en Charognards affamés, après une prière teinté par le néant, Arkarosos ne put que tenter de s'enfuir malgré ses blessures.

Et c'est ainsi qu'il mourut, ses entrailles dévorées par ses propres amis, lui qui sait.




La suite viendra après leur réveil ...

je serai absent aujourd'hui

la tarasque

Table annulée trop d'absents pour reprendre sur un nouveau scénario. Désolé de prévenir si tard, d'ailleurs vous ne verrez probablement pas ce message à temps, je viens de l'apprendre.