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 Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte

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Iliakou
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Thib
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Thib
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MessageSujet: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeLun 17 Jan 2022 - 12:31

Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Didier10

Vous faites partie du Second pacte, une organisation interespèce et internationale chargée de préserver l’humanité de l’avancée irrémédiable de la technologie. En effet, la révélation des savoirs thaumaturgiques et technologiques a abouti à des innovations toujours plus destructrices et à la constitution d’arsenaux toujours plus démesurés menant l’humanité à se propre destruction. Mais cette course vers un désastre annoncé ne serait-elle pas manipulée par un ennemi de l’ombre ?


-------------------------------------------------------------------------------------

Liste des questions pour la création de personnages
(Remarque: Il se peut que vous souhaitiez garder certaines informations secrètes, dans ce cas, mettez ici les informations que les autres personnages connaissent, et contactez moi en MP ou via discord pour me dire la vérité!)
(Remarque 2: N'hésitez pas à rédiger vos réponses aux questions au sein de paragraphes rédigés avec les informations pertinentes en gras, comme a pu le faire Gildas)
- Quel est votre nom?
- Où êtes-vous né et où vivez-vous maintenant?
- A quoi ressemblez-vous?
- Décrivez votre enfance et votre jeunesse (éducation, famille...)
- Quels sont vos qualités et vos défauts?
- Quel est votre style ? (vestimentaire, manies, comportement...)
- Définissez votre personnalité en deux mots.
- Qu'est-ce que vous aimez, qu'est ce que vous n'aimez pas? (nourriture, boisson, musique, évènements...)
- Qu'est-ce qui est vraiment important à vos yeux? 1) Quels sont les principes auxquels vous êtes le plus attachés? 2) Quel est votre bien le plus précieux? 3) Qui estimez-vous le plus au monde?
- Qui est votre ennemi juré? Qui sont vos alliés?
- Décrivez vos vie romantique.
- Quels sont les objectifs de votre vie? (Objectif social; Objectif professionnel; Objectif romantique).
- Quelle action ou quel évènement de votre vie regrettez-vous le plus?
- Quelle action ou quel évènement de votre vie vous sentez-vous le plus fier?
- Décrivez les dernières années de votre vie.
- Comment avez-vous rejoint le Second Pacte?
- Quel est votre sombre secret? (à m'envoyer en message privé).
-------------------------------------------------------------------------------------


Dernière édition par Thib le Jeu 20 Jan 2022 - 18:51, édité 2 fois
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GildasLau
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MessageSujet: Marie-Laure DE SAINT-AUVIN (incarnée par Gildas )   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeLun 17 Jan 2022 - 13:23

J'ouvre le bal (ce qui est en gras correspond, en gros, aux réponses aux questions) :

Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Portra10



      Je me présente : Marie-Laure DE SAINT-AUVIN, à votre service. Fille adoptive du Baron DE St-AUVIN et biologique de Marta DE St-AUVIN. Ma mère est humaine. C’est de mon père que je tiens mes traits draconiques. Malheureusement celui-ci étant peu fidèle et à la recherche de fils uniquement, lorsque je suis né, il est parti pour de nouveaux horizons, dirons nous. Mais ma mère étant une battante, elle s’est très vite remis et s’est trouvé un nouveaux compagnon de vie avec qui elle fil le parfait amour, mon beau-père, celui dont je tiens mon nom, Le Baron Florencien DE St-AUVIN.
      J’ai donc grandi dans la petite Baronnie de Saint-AUVIN, dans un environnement remplie de joie et d’amour, avant de quitter le « nid » familial pour me rendre et vivre à Lyon pendant une assez importante période de ma vie.
      On me dit joviale et amicale. Je me considère et accorde une grande importance au fait d’être honnête. Je tiens aussi très bien l’alcool, qui est une qualité surprenamment utile dans les réunions mondaines, que j’apprécie tous particulièrement. C’est vrai que j’ai oublié de préciser que je me suis pris d’affection pour l’univers mondain de la noblesse Européenne. J’adore les petits plaisirs qu’il offre et je trouve les petit jeux de pouvoir et de séduction, auxquelles les humains et autres créatures présentent se prêtent, très amusants. J’adore aussi les boissons et la nourriture qu’on y trouve. Et pour je ne sais qu’elle raison, peut être ma nature draconique, mais j’ai une très forte attirance pour toute la coquetterie de cet univers. Les bijoux, les vêtements, les accessoires, je les adore tellement. C’est pour ca que vous me verrez le plus souvent très bien apprêté. Même en mission ! (sauf si bien sûr ca gênerait). On me dit aussi trop naïve et que je fais confiance trop facilement. Mais en vrai ce n’est pas si terrible que ca non ? On me reproche aussi de trop parler et de dire des trucs que je ne devrais pas. Mais pour moi la parole est un don trop beau pour être tut. C’est pour ca que je ne comprends pas trop pourquoi faut que je me taise plus souvent, mais bon puisque apparemment c’est important j’essaie quand même de faire un peu attention.
      En côtoyant les différentes sociétés Il y a quelques uns de leur aspect que j’ai appris à détester. J’ai une sainte horreur de la violence gratuite. Et dans le même temps je trouve la pratique de la torture parfaitement inutile et profondément inefficace pour obtenir la vérité. Je préfère largement la « manipulation » psychologique, bien plus subtile, qui travail sur la durée et offre bien plus d’option sur l’utilité finale de la personne interrogé.
      Peut être est ce parce que j’en été un peu victime mais je déteste les injustices en tous genre. Que se soit liées au genre, à la race ou aux origines sociales, je trouve parfaitement illogique que les compétences et capacités d’une personne soit remise en question ou ignoré à cause de factures dont elle n’a aucun contrôle dessus. En fait c’est ca le mot : « illogique », je déteste ce qui est illogique ou absurde. Ca a quelque peu tendance à m’agacer.
      Pour revenir sur quelque chose de plus joyeux je vais vous parler de ma famille. Lorsque ma mère s’est mariée au Baron il avait déjà un fils, d’un premier mariage, légèrement plus âgé que moi. Et après ca ils ont eu une fille ensemble. Nous avons tous très bien grandis ensemble. Du côté de mon père j’ai appris qu’il avait enfin pu avoir des fils, je ne sais pas après combien de tentative, mais il les a eu. Il a réussi a trouvé une compagne qui lui a donné trois fils, et qu’il a abandonnée quand celle-ci lui a donné une fille en quatrième enfant. Mais bizarrement, cette fille, il ne l’a pas abandonnée avec sa mère, mais il l’a élevé avec ses trois fils dans son domaine, sa « grotte ». Mon plus grand regret c’est de n’avoir pas pu discuter avec mon père avant sa mort. C’est bien triste. Je sais aussi que j’ai une grande sœur dragon quelque part qui est la première tentative non fructueuse de mon père pour avoir un fils. Mais je n’ai jamais pu savoir ce qu’elle est devenue. A la mort de mon père mes petits frères sont partie chacun de leur coté comme ils étaient assez âgé pour. Mais ils ont laissé derrière eux notre petite sœur alors qu’elle était trop jeune pour s’occuper d’elle-même. Je l’ai donc recueilli. Elle vit actuellement dans ma demeure près de Lyon où elle arrive maintenant à s’occuper seul. Mais quand elle se sent trop seule elle rend visite à la Comtesse Marguerite DUFORT, ma chaperonne et ma plus grande alliée dans les cercles mondain et en dehors. Elle est la seule personne a qui je peux faire entièrement confiance. C’est d’ailleurs grâce à elles que j’ai pu acquérir la demeure que j’ai actuellement. A l’origine mon instinct draconique ma poussé à prendre possession d’une grotte près de Lyon et grâce à la Comtesse j’ai pu la faire réaménager a telle point qu’elle ressemblerait presque a une vrai demeure. Elle est juste encastrée dans une montagne.
      Pour ce qui est de ma vie amoureuse, j’ai malheureusement hérité du caractère volage de mon père. Mais bizarrement ca à l’air de moins gêner dans ce sens. Peut être que c’est parce que si c’est moi qui met fin à la relation c’est moi qui fini avec l’enfant. Comme ca ne me gêne pas d’élever « seul » mes enfants et que très souvent les pères sont de jeune noble et ne veulent pas d’enfant hors mariage dans les pattes, ca arrange un peu tout le monde. J’ai eu plusieurs relations différentes sans lendemain. Je n’ai pas compté et je m’en fiche un peu. La seule chose que je peux compter c’est le nombre de résultat. J’ai eu quatre enfants de quatre pères différents. Comme ma vie est très remplie et que je n’ai pas de personne pour s’occuper d’eux dans ma demeure, je les ai confiés à la seule personne que je connais qui a déjà élevé des bébés dragon : Ma mère. Et très honnêtement ca n’a pas trop l’air de la déranger. J’essaie d’aller leurs rendre visite le plus souvent possible. J’y amène aussi ma petite sœur pour quel puisse profiter de ses neveux et nièces et qu’elle puisse faire l’expérience d’une famille soudé et aimante.
      D’ailleurs j’ai toujours avec moi une petite poupée de paille que mon ainé m’a fabriqué quand il avait 3 ans. La poupée en elle-même est très mignonne. Mais vous auriez du voir la tête toute mignonne de mon petit bout de choux quand il me l’a donné. C’est, je crois, mon bien le plus précieux. Grâce à mon travail pour le second pacte j’ai aussi une bonne excuse pour avoir sur moi un pendentif très sophistiqué qui me permet d’avoir sur moi une photo de chaque membre important de ma famille, en plus du fameux insigne en forme de cygne blanc. Je crois vraiment que les personnes qui sont représenter dans ce pendentif sont les plus important et que je pourrais sincèrement mourir pour eux, bien que j’évite au maximum de devoir arrivé à ce genre d’extrémité.
      Malheureusement cette vie de « luxure », dirons-nous, m’a aussi apporté quelque chose de moins agréable. Il y a cette jeune noble, Sabine DELAVEAU, fille de l’ancien Marquis DELAVEAU. Ancien car par un concours de circonstance il s’avère que je suis plus ou moins responsable de la déchéance du Marquisat DELAVEAU. En même temps quel idée de construire sa fortune sur des commerces illégaux. Bref, à cause de ca il s’avère que le jeune ex héritière du Marquisat me voue une haine très grande. Je pense aussi que c’est parce qu’en même temps que cette affaire de commerce illégal, j’ai eu une relation d’un soir avec le fiancé de Sabine, sans savoir que c’était le sien. Et que ma petite troisième est née de cette relation. Il a rompu ses fiançailles avec Sabine quand toute les mauvaises nouvelles sont arrivées en même temps. Du coup toute la famille DELAVEAU me déteste, mais Sabine, elle, me hait.
      Voici pour ce qui est de mon histoire. Maintenant que les présentations son fait je vais vous dire pourquoi j’ai intégré le second pacte. En vérité c’est très simple : C’est la mode du moment chez la jeune noblesse. La gloire et prestige sont ce qu’il recherche. C’est généralement pour ce vanté auprès de leur connaissance durant les soirées mondaines. Ca à éveiller ma curiosité donc je me suis prêter au jeu et me voilà. Ca fait deux ans que j’ai intégrer le second pacte. Au début, de par mon rang, j’étais cantonné aux travaux de bureau, puis des hauts placés ont jugée qu’un dragon au front ca sonnait bien donc j’ai changé de poste au fur et à mesure pour me retrouvé à mon poste actuel.
      J’ai parlé de mon passé et de mon présent. Maintenant parlons de mon avenir. En vrai je n’aspire pas à grand-chose de plus que ce que j’ai déjà, mon instinct draconique m’a déjà poussé à commencé à rassembler une collection d’objet précieux et intéressant que je stocke dans ma demeure à Lyon et que je compte bien continuer de la remplir. Je ne compte pas passer toute ma vie au sein du second pacte. J’espère une fin rapide à ce conflit pour pouvoir continuer mon ascension au sein des cercles mondains. Je compte accumuler des titres et de la renommé tous au long de ma vie. Parce que cela me permettra de mieux protéger mes êtres chers, mais surtout parce que j’aime m’imaginer avec un nom a rallonge. Je trouverais cela très drôle que dans les livres d’histoire une seul page ne soit consacrer qu’au fait de me nommé. Je caresse aussi l’espoir fou de trouver l’homme qui me fera tomber d’un amour fou pour lui. Mais ce n’est en rien ma priorité.
      Fin des présentations, à vous. (j'espère que c'était pas trop long ^^)
PS : un petit arbre généalogique pour y voir plus clair dans ma famille  ^^
Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Arbre_10


Dernière édition par GildasLau le Dim 27 Fév 2022 - 18:48, édité 1 fois
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thunderbike
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MessageSujet: Eirik (joué par Kévin Lefort)   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeVen 21 Jan 2022 - 17:29

Bon ! c’est à mon tour de tout envoyer ! 
à noter que cette fiche peut évoluer, à mesure qu'elle est complété
Petite légende : [] = non défini, à définir, et/ou secret
() = des commentaires, et/ou des citation du perso
 Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte M_dwar10
visuel non-contractuel


Prénom : Eirik
Nom : [vous ne le saurez pas (mais, peut-être défini)]
Lieu de naissance : Kasak Coron (citée nain en Italie)
L’enfance + partie de son âge adulte : « Après être né dans la Citée de Kasak Coron dans les années 1810, j’ai été abandonné, pour des raisons que j’ignore. J’ai donc été recueilli par se qui sera mon père adoptif, avec pour seul objet, au-delà de quelques pièces de tissu pour que j’ai un maigre espoir de survie face au froid, une boussole. Depuis, je l’ai toujours suivi, y compris lorsqu’il s’est engagé dans l’armé égyptienne, où j’ai pu y faire mes armes, mais également lors de sa désertion, non sans en être chagriné néanmoins. Se n’est que lors se qu’il fini part rentrer au pays que nous nous somme séparer : moi en continuant d’explorer le monde, et lui à écrire un rapport et essayer de ventre son « trésor ». Se n’est que en 1865, quand j’ai appris la mort de mon père adoptif, que je suis rentré au pays pour lui rendre un dernier hommage, avant de reprendre mes voyages, cette fois si, en Europe. »

Qualités : Loyal ; sans attache ; survivaliste
Défauts : à des trous dans les poches ; naïf ; négligé, peu soucieux de la/sa propreté
Style : chapeau Randol’s (ou de paille, à l’occasion) ; veste en cuir ; un gant droit long (jusqu’au coude), un gauche court ; bottes mi-cuisses, style mousquetaire ; pas de « sous-haut » (t-shirt, chemise, ect…)
Aime : les bibliothèques ; les nouvelles choses ; manger, surtout des plats exotiques, peu connu/courant ; dormir à la belle étoile
N’aime pas : les soirées mondaines ; rester au même endroit
Principe important : la Loyauté
Objet important : sa boussole « spéciale », hérité de ses parents biologique (apparemment)
Personne Importante : son père adoptif
Il est prêt à risquer : 
  • pour ses principes : la diplomatie (« dites bonjour au bourre-pif ! ») ; la raison (« une parole est une parole, quel que soit les risques ou les conséquences… ») SAUF, si sa vie peut être grandement menacé (« … en revanche, tu ne me demanderas jamais de me jeter dans de la lave, ou d’une falaise sans espoir d’y rechaper. Je suis fidèle, pas fou ! »)
  • Pour son objet : Tout (sa vie y compris, « c’est le seul lien qui me relie à mes origines ! Si je le perd, ma vie ne vaut plus le coup d’être vécue ! »)
  • Pour la personne : rien (« il est bien là où il est. Et où qu’il soit, où qu’il finisse, il ne tolèrerai pas qu’il m’arrive quelque chose pour ses souvenir, sachant déjà qu’ils sont de tout temps avec moi… »)


Ennemis : Un haut dignitaire (Eirik l’a surpris, par accident, avec une maitresse. Si cela devenait public, le dignitaire serait humilié, voir déchu. D’où sa rancœur); l’armé Egyptienne ("ça à beau dater, je suis et reste un déserteur")
Allié : une vielle relation du père adoptif [à identifier]
Vie romantique : grand solitaire ; a recherché l’amour il fut un temps, maintenant, il a d’autre préoccupation ; l’idée de se lier à quelqu’un reste portant dans son esprit
Objectifs : social : être réputé pour avoir découvert mont, merveilles et antiquités. Également, voir son second nom lié à se fait serais ça plus grande fierté
Professionnel : Cartographier le plus de lieu possible dans une vie naine, dans le moindre détail
Amoureux : rêve de pouvoir partager ses voyages avec une relation stable. Voir avoir une descendance ?
Action regrettée : avoir suivie naïvement sa boussole un jour, comme à son habitude, jusqu’à ce que celle-ci le mène à une chambre occupée par un haut dignitaire, occupé par des plaisir… très charnel, avec quelqu’un d’autre que sa femme (en clair : il a surpris une tromperie). En plus de l’embarras généré par la situation, il est devenu « la cible » du dignitaire, pour que ce secret ne s’ébruite pas. Depuis, quand il regarde la boussole, il regarde où elle pointe, et redouble de prudence si le lieu désigné pourrait poser problème
Une action valorisante : [à définir]

Se qu’il a fait ses dernières années : vagabonder, barouder par mont et par vaux à travers l’Europe à la recherche de lieux ou merveilles à répertorier/déterrer
Se qui ma mené au second pacte : "Ma boussole ma mené, un jour, à une personne en détresse suite à un accident. Je l’ai, évidement, mené à l’hôpital le plus proche, avec un talent et une vitesse hors du commun, comme à mon habitude. Par la suite, le lendemain, j’ai été accosté par une seigneur dragon, qui était de haute cour. Il s’agissait de Marie-Laure DE SAINT-AUVIN, membre du second pacte, qui fut flatté par le sauvetage de son ami, lui n’ayant eu de cesse de vanter mon exploit, ainsi que le fait que je lui avais « sauvé la vie » (il ne serait pas mort pour autant si je n’avais pas été là, mais bon, au moins, ai-je pu sauver sa jambe). Elle m’a finalement, malgré le large fossé qui nous séparait, amené à intégrer second pacte."

Je connais le groupe depuis : quelques mission (2-3)
La marque du cygne blanc : un tatouage à l’épaule gauche

D’autres info bonus : Talents : 
  • est mauvais dans les compétences sociales (charisme ; aisance sociale ; interprétation), la gestion de l’argent, et la sorcellerie
  • Est plutôt bon : pour voir les choses, se faire discret, tirer, courir
  • A un physique excellent
  • Est un maitre dans l’art du pilotage

Dispose, généralement, sur lui : un Fusil Chassepot ; une hache ; une boite de cigares ; sa boussole ; un sac avec une corde, son 2ème chapeau, une tente et de quoi cuisiner
Un sombre secret ? : vous croyez SERIEUSEMENT que j’allais vous le dire ? Apparemment oui...
J'ai, au cours d'une expédition, agressé mon père adoptif, se qui a, selon moi, provoqué un carnage dans l'équipe de l'expédition.
De plus, mon avidité à été punie par une malédiction qui fait "pourrir" mon corps, à partir de mon bras droit, et représente un risque, à terme, de "zombification"


Dernière édition par thunderbike le Mar 5 Avr 2022 - 11:20, édité 2 fois
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Iliakou
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeDim 23 Jan 2022 - 16:24

Chers amis,
Il ne me semble pas que nous ayons été présentés… Qu’à cela ne tienne et faisons fi des convenances, pour une fois.
Je me nomme Dorga, Rani Dorga. Et je sais que certains dans Paris me désigne comme « La » Dorga.
Je ne doute pas que vous le sachiez déjà mais je préfère le préciser : Rani n’est pas un prénom mais un titre… L’équivalent de « princesse » en français. Car princesse indienne je suis, fille du Raja Bengi. Je suis née près de Chandernagor mais de tristes événements m’ont forcée à m’exiler en France.
La vie dans un palais indien est bien différente que la vie parisienne et en particulier pour une jeune fille. Mais lorsqu’une révolution de palais, menée par un oncle jaloux et ses sbires thugs, vous chasse de votre pays et de vos titres, vous louez Vishnou de pouvoir vivre dans la Ville des Lumières.
De cette sinistre période de ma vie, souffrez que je n’en dise pas plus : la douleur est encore trop forte et les larmes montent à mes yeux. Je ne sais ce qu’il est advenu du reste de ma famille mais je crains fort que mon père ne soit plus de ce monde.
Il me semble que mon karma est de perdre les gens que j’aime. Peu de temps après mon arrivée à Paris, j’ai fait la connaissance d’un jeune homme originaire de Bavière. Ce jeune poète un peu maladroit, du nom de Willem Baugarten, a tout de suite su toucher mon cœur. Il m’a fait une cour attentionnée qui m’a permis d’apaiser mes blessures d’hier. Il me disait être venu en France pour découvrir le Parizer Gemütlichkeit. Ne me demandez pas ce que signifie cette expression, je n’en ai aucune idée mais l’air pénétré avec lequel il disait cela me faisait rire comme une enfant. Parfois, Willem repartait en Bavière sur un coup de tête et je lisais le trouble sur son visage lorsqu’il m’annonçait son départ.
Mais la joie et l’amour ne dure jamais longtemps.
Un jour, après une de ces absence, Willem réapparut à ma porte chancelant. Il avait d’étranges blessures sur le corps. Il n’eut que le temps de me dire qu’il m’aimait et qu’il avait failli avant de mourir dans mes bras. Je fus dévasté, me demandant si la vie valait encore la peine d’être vécue. Je restais dans cet état de langueur et douloureuse tristesse pendant deux semaines. Se présentèrent alors à mon domicile un officier de l’armée bavaroise et un seigneur Sidh. Ils semblaient très informés sur ma personne. Ils m’expliquèrent que Willem était un agent du Second Pacte et avait été victime de la Cour Sombre. Ils me proposèrent de rejoindre l’organisation si je souhaitais honorer de cette façon la mémoire de Willem.
La perte des êtres chers a beaucoup affectée ma personnalité. Je prie les dieux de m’aider à endurer les épreuves avec stoïcisme mais je crains de ne plus jamais pouvoir aimer.
Courir les soirées parisienne m’aide à oublier les épreuves de ma vie.
L’Inde me manque et j’ai tenté de recréer chez moi un peu de l’atmosphère de mon pays natal par des meubles et des objets de décoration. Si en ville, je me prie volontiers aux règles vestimentaires du chic parisien, avec corset et crinolines, j’endosse habituellement le traditionnel sari dans mon logis.
Vous souhaitez me faire plaisir par une petite attention ? J’aime les parfums capiteux et les orchidées (si rares en France) et, comme toutes les femmes, les bijoux sont mes meilleurs amis.
J'espère que cette présentation vous aura permis de mieux me connaître sinon... laissez moi conserver un peu de mon mystère et de mon exotisme.



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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeLun 24 Jan 2022 - 21:58

Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Dag11
Dagmar Hankel, dit "Dag"
26 ans
ex-Ingénieur militaire
Je suis né en Prusse, d'où mon accent "à couper au couteau", comme vous dites. J'ai grandi avec des parents qui mettaient mes notes à l'école très haut dans l'ordre de mes priorités. Je n'étais pas un enfant très apprécié, parce que j'ennuyais tout le monde avec mes questions. Suivant la voie du savoir je suis devenu scientifique à l'université de Leipzig, et j'ai notamment travaillé sur les Bollwerk. Je vis maintenant en France depuis ma trahison.
Mes vêtements ont toujours des poches, tout en restant confortables et pratiques. Je ne nie pas la beauté de la mode, mais ce n'est pas mon rayon. Je tiens à rester banal à première vue, mais plein de ressources.
Je suis très souriant depuis que j'ai traversé la frontière et rejoint le Second Pacte. J'ai pu confier que j'essaie de compenser un peu ma vie triste d'avant, et que ce changement me paraît comme de longues vacances. De la même manière, j'ai commencé à faire vraiment attention aux personnes autour de moi.
En deux mots, je suis curieux et débrouillard.
J'aime la magie et la technologie, qui sont pour moi deux moyens d'augmenter nos capacités. Etonnamment j'aime aussi les jeux de mots de la langue française, car ils m'encouragent par le rire à en parfaire ma connaissance.
Je n'aime pas les contraintes, quelles que soient leurs formes. La liberté est pour moi le principe le plus important.
Mon bien le plus précieux est Getan, le petit nom que j'ai donné à mon outil favori, une sorte de couteau suisse, mais en mieux. C'est comme avoir l'équivalent d'une boîte à outils complète dans sa poche. Inutile de préciser que je ne m'en sépare jamais.
S'il y a une personne que j'admire, c'est Léonard de Vinci, pour la diversité de ses compétences.
Mon ennemi juré, c'est celui qui contrôlait mon travail, et qui a compris que je donnais des informations à la Bavière. Enfin... c'est lui que je déteste le plus.
Mon Objectif serait d'élargir les possibilités de ce que je peux créer, concevoir, fabriquer, élaborer, imaginer. Je suis très créatif, et j'aimerais pouvoir résoudre n'importe quel problème, pour n'importe qui.
Malheureusement je n'ai pas vraiment eu, ou pris, le temps de m'intéresser à l'Amour. Depuis que j'ai passé la frontière, j'ai remarqué que mes origines n'étaient pas vraiment une aide sur le plan social. Mon rêve serait de rencontrer une puissante sorcière, pour qu'en combinant nos savoirs nous puissions concevoir de véritables merveilles.


Dernière édition par Elfrero le Dim 27 Fév 2022 - 0:44, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 26 Jan 2022 - 19:38

Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Matrim_cauthon_by_emmgoyer7_d7cwwzr-fullview.jpg?token=eyJ0eXAiOiJKV1QiLCJhbGciOiJIUzI1NiJ9.eyJzdWIiOiJ1cm46YXBwOjdlMGQxODg5ODIyNjQzNzNhNWYwZDQxNWVhMGQyNmUwIiwiaXNzIjoidXJuOmFwcDo3ZTBkMTg4OTgyMjY0MzczYTVmMGQ0MTVlYTBkMjZlMCIsIm9iaiI6W1t7ImhlaWdodCI6Ijw9ODYzIiwicGF0aCI6IlwvZlwvMGVlMGY0YTYtNDgyMS00OGUwLTkwYjAtZTZlODdmMDhlMTdhXC9kN2N3d3pyLWUxNGMwOWMzLTUwMDAtNDRhZS1hNzllLTFhZWE1M2NiMzI2ZS5qcGciLCJ3aWR0aCI6Ijw9MTAyNCJ9XV0sImF1ZCI6WyJ1cm46c2VydmljZTppbWFnZS5vcGVyYXRpb25zIl19
 Salut, moi c'est Karl. Je suis née dans une famille en Prusse, les Muller. Non, je dirais pas j'ai été trop a plaindre, enfin pas au début. Ma famille manquait pas encore de fric, les affaires allaient mal, mais du temps de mon grand-père, elles allait très bien, alors on était loin de la rue. Je me plaignais pas, j'avais pas vraiment idée de ce qu'était le monde jusqu'à qu'on m'envoie en école militaire à 15 ans.

 Là bas, j'y ai appris une leçon : donne un flingue et un peu de pouvoir à un abrutis, et tu le transforme en le pire des tyrans. Et là bas, des abrutis, il y en avait beaucoup. J'étais pas près à frapper les moins dégourdie que moi, alors j'ai eu du mal à m'intégrer. Surtout quand le moins dégourdie s'est barré, et que j'étais le seul à ne pas être dans une meute.

 C'est à ce moment là que j'ai rencontré Erik, alors que je m'étais réfugié hors des mur de cette prison. J'avais dix-sept ans, et lui la vingtaine. Il m'a appris à penser par moi même, à pas me laisser faire et comment bien utiliser mes talents.

Quand j'en ai eu marre, je me suis barré après avoir fait explosé la réserve d'arme de l'école. Je suis partie jusqu'à Vienne, en traversant les montagnes à pied. J'en suis plutôt fière, je l'avoue. Tous ce que j'ai emmener avec moi, c'est une veille montre à gousset, avec mes parents dessus. Même si ils sont un peu trop pro-ennemie pour moi, ils sont pas méchants, juste aveugle.

Ensuite, j'ai bossé dans la rue, puis pour un vieux chimiste à moitié aveugle, un certain Dr.Brand. J'ai rejoins des groupe d’anarchistes et des communistes, c'est d’ailleurs là que j'ai rencontré Charlotte, avec qui je vie maintenant. Et puis, il y a quelques mois, j'ai rejoins le second Pacte, histoire de vraiment luter contre les salauds qui se planque derrière leurs armée. Je suis sûre qu'un jour, on les aura, et on pourra construire un monde meilleur.

J'avoue, j'ai souvent pris mes décisions sur un coup de tête. Et je devrai peut-être être un peu plus prudent : Je crois que quand j'ai dit que a un générale que c'était "une lopette", j'ai faillit me faire virer. Mais bon, vous savez comment c'est, non ? Prend une bouffé de tabac. Mieux vaut mourir libre que vivre esclave !


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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeLun 31 Jan 2022 - 18:49

Rapport de mission n°1
Par Karl Muller

  Notre groupe a été envoyé dans le but principal d'aider le représentant des sciences du second Pacte en France : Jules Verne. Nous avons été invités à le rencontrer au cours d'une soirée qui se déroulait à l'hôtel Rochechouart, à laquelle il n'a malheureusement pas pu assister.
  Nous Avons cependant rencontré son bras droit, feu le Pr. Lantière, ainsi que de nombreuses personnes plus ou moins hautes en couleurs. En premier lieu, le Dr. Podelius, un éminent inventeur là pour présenter ses dernières trouvailles, accompagné de son assistant, Constant. En autres scientifiques ou ingénieurs, nous avons eu la chance de discuter avec le Dr. Charles Babbage (qui semble avoir un différent avec Podelius concernant un calculateur qu'il l'accuse d'avoir copier) et Josephine Cagliostro (une mondaine séductrice ayant des grandes connaissances en automate, en construisant elle-même). Nous avons également croisé la route de Celestin de Simon (un gros marchant aimant le poker), Bert et Simon Tibodo (une passionnée de science amatrice et son frère qui l'accompagnait [et a tenté de séduire Cagliostro]) et M.Maréchau (le responsable de la sécurité). Un dernier convive a fait parler de lui car il est parti en se sentant insulté par le travail de Podelius, Pierphal Heicaryme (un seigneur faë).
  L'incident s'est produit durant la nuit, proche de minuit. Alors que le Dr.Podelius, entre deux présentation, faisait voir à ceux qui le voulait ses inventions "caché" dans une petite pièce à part, le pr.Lantière a trouvé la mort, assassiné par l'une des invention du professeur qu'il avait lui même (et involontairement) mis en marche, un automate semblable à une parodie de seigneur faës. L'automate s'est ensuite enfui, laissant les convives sous le choc. Nous n'avons pas pu retrouver l'objet, il se serait enfui en sautant dans la Seine.
  Nous avons interrogé quelques invités avant de rejoindre nos appartements (avec l'approbation de M.Maréchau) , nous avons notamment appris que le père de Joséphine Cagliostro avait, par le passé, créé des automates tueurs. N'ayant cependant pas pu avoir accès à la pièce, elle ne nous a pas semblé une coupable crédible. Suite à ces interrogatoires, nous avons décidé de nous retirer pour la nuit.

Fin du rapport


Dernière édition par seeret le Mar 1 Fév 2022 - 19:43, édité 2 fois
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Iliakou
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeLun 31 Jan 2022 - 20:40

Très cher journal,
Depuis quelques jours, les événements se bousculent dans ma vie. J'ai déjà relaté ici le drame qui s'est déroulé au Ministère de la Science et je n'y reviendrai pas : je suis encore bouleversée par l'horreur de ce que j'ai vu.
Le lendemain donc, nous allâmes avec Marie-Laure de Saint-Auvin, une nouvelle accointance, prendre des nouvelles du docteur Podelius, toujours au repos à l'Hôtel Rochechouart. Marie-Laure s'était entichée depuis la veille de Joséphine Cagliostro, la fille du criminel emprisonné à Londres. Elle semblait croire que la célèbre intrigante pourrait nous aider dans notre enquête de part sa connaissance des automates. Nous trouvâmes le scientifique alité avec Constant, son assistant, à ses côtés. Après nous avoir rassurées sur son état de santé (il avait disposé d'un long sommeil réparateur), il nous demanda si nous avions récupéré Aubéros, son automate. Je notai, sans rien en laisser paraître, l'ironie du nom.
Nous l'informâmes de l'avancée de notre enquête et des limites que nous connaissions. Il nous révéla alors qu'il poursuivait l'entreprise de reproduire dans l'automate, les pouvoirs d'un faë grâce à la science. Ses expériences n'avaient pas été, pour l'instant,couronnées de succès. Et les futures expérimentations risquaient de se faire attendre.
Je ne sais par quelle ruse, Marie-Laure trouva les mots pour convaincre le Docteur de laisser la Cagliostro pénétrer avec nous dans son ateliier. Non sans la menace de nous rendre responsables de tout document sortant de chez lui sans son consentement. Et de se prévaloir d'être un intime de l'Empereur. Autant dire que si l'intrigante parvient à récupérer un secret, ma position s'en trouve menacée.
Je décidai, pour ma part, d'asticoter Constant. J'avais trouvé le jeune homme par trop culpabilisé par le drame de la veille et mon intuition féminine me disait qu'il tentait de cacher quelque chose.
Constant m'avoua, la gorge serrée, s'être absentée deux fois durant la réception, au début de la soirée alors que le Seigneur Pierphal Heicaryn était encore présent et après la représentation infructueuse du singe. L'heure passant et étant à cours de questions, nous décidâmes de prendre congé du scientifique et de partir pour son atelier.
Un crieur de journaux piqua ma curiosité. La une du quotidien qu'il vendait annonçait : Horrible meurtre à Saint-Eustache. L'article expliquait qu'on avait retrouvé un cadavre horriblement mutilé devant l'église Saint-Eustache. Le crime s'était déroulé durant la nuit. J'y voyais là bien plus qu'une coïncidence et laissaient là mes compagnes pour aller enquêter seule sur les lieu du meurtre. Je repassai donc à mon hôtel pour endosser des vêtements plus adaptés au quartier.
***
Eirik, Dagmar et Karl attendaient devant l'atelier/appartement du Docteur Podélius lorsque Marie-Laure de Saint-Auvin et Joséphine Cagliostro arrivèrent. C'est avec une grande prudence teintée de méfiance qu'ils pénétrèrent dans un appartement aux allures d'atelier, rempli dès l'entrée de maquettes de train, de papiers, schémas... Partout traînaient des pièces mécaniques en métal. C'est dans ce désordre que Dagmar trouva une rarissime documentation sur la biologie des Faës. En effet, le corps d'un faë disparaissant peu de temps après sa mort, l'étude anatomique de ces êtres s'avère des plus complexes. En fouillant, les aventuriers exhumèrent ce qui devait être un projet d'installation d'éclairage électrique urbain dans Paris. Illuminer la Ville des Lumière était une tâche habituellement confiée à un groupe de thaumaturges comme l'avait lui-même confié le Docteur Podélieus la veille.
Enfin, un document leur donna du fil à retordre tant son contenu était scientifiquement innovateur. Mais en confrontant leurs connaissances et avec l'aide opportune de mademoiselle Cagliostro, il leur révéla ses secrets : au moyen d'un moulage constitué d'un alliage de métaux particuliers, l'automate (ou son créateur) pouvait reproduire les traits du visage de quelqu'un. En d'autres termes, l'automate pouvait changer de tête. Il ne leur fallut pas longtemps pour réaliser tout le potentiel destructeur de cette invention, placée entre de mauvaises mains, sauf Marie-Laure de Saint-Auvin qui offrit à la fille de Cagliostro la possibilité d'en recopier les étapes du processus.
***

Dans mes habits de midinette et sans maquillage, je n'attirais nul regard dans le quartier Saint-Eustache. Devant l'église où s'était déroulé le crime, un sergent de ville faisait le planton. Sur la place se tenait un marché. Un rapide tour des étals, toutes oreilles tendues, me permis d'en apprendre plus sur les récents événements : marchands et chalands commentaient la triste destinée de celui qu'ils nommaient avec une pointe d'ironie "Désiré l'Égyptien", un pauvre hère qui participaient jusqu'hier soir à "La bande du Contrat Social", un groupe de marginaux bien connu du quartier. Si leur société n'était pas recommandable, les braves gens ne les décrivaient pas non plus comme de ces apaches qui surinent les bourgeois la nuit. Son corps avait été retrouvé juste devant l'église, sur les marches du porche.
L'homme se glorifiait avoir fait la Campagne d'Italie avec Bonaparte alors qu'il n'avait qu'une quarantaine d'années (d'où son sobriquet).
Le sergent de ville n'était pas d'humeur à discuter mais le café goutte que je lui apportai eu sur lui l'effet d'un sésame, alors que la pluie d'hier avait bien du mal à quitter les cieux parisiens. Il m'apprit ainsi que le corps avait été transféré au cimetière du Père-Lachaise où il serait enterré le soir même. Il n'y aurait pas d'enquête.
Je ne distinguais sur les marches de l'église que quelques traces de sang là où, à en croire les affreuses descriptions de l'article, j'aurais dû voir une flaque de sang.
Alors que je terminais ma conversation avec le policier, je m'aperçus que mes compagnons d'aventure semblaient me cherche : sans doute avaient-ils fini leur fouille de l'appartement du Docteur et c'étaient-ils décidés à suivre la même piste que moi. Mon arrivée fit sensation, vêtue d'habits simples comme j'étais alors qu'il attendait la femme du monde que je suis habituellement.
Alors que je leur faisais un petit compte-rendu de mes investigations, une petite fille apporta à Karl un billet, signé d'un "C". Son auteur lui indiquait qu'il était en mesure de nous aider et lui proposait un rendez-vous au Café Cardinal dans une heure. Nous décidâmes de nous rendre à l'invitation non sans avoir d'abord essayé de prendre contact avec "la bande du Contrat Social".
Après avoir errer ça et là dans le quartier, nous fiant aux indications que les résidents nous donnaient, nous trouvâmes un camp de vagabond mais celui-ci avait été déserté. Au centre séchait une flaque de sang... le sang de Désiré l'Égyptien. Et en fait, c'est la bande qui nous trouva. Leur chef, qui se présenta comme Rousseau, semblait méfiant à notre égard et on l'aurait été à moins. Je dûs faire appel à toute ma diplomatie et à une pointe de comédie pour gagner sa confiance.
"Une gargouille lui a pris la vie" nous dit-ils sobrement. "Elle a attaqué depuis le haut, sans un cri, sans un bruit". Malgré son aplomb naturel, on le sentait choqué.
En partant, je laissai choir une petite bourse d'argent à l'attention de nos nouvelles connaissances.
Dagmar prit congé de nous pour aller voir le corps du malheureux avant son inhumation. Je laissai mes compagnons partir au rendez-vous. Je devais me changer avant de m'y rendre moi-même. Et d'ailleurs, je ne fut pas la dernière à arriver au Café Cardinal, un endroit où le tout-Paris se plaît à se montrer, particulièrement bondé en cette toute fin d'après-midi. Notre mystérieux contact se présenta avec un retard inqualifiable. C'était un homme élégant d'une quarantaine voire une cinquantaine d'années chauve qui prétendit être un ami de Podélius et répondait au nom de Lauthaire Chateaublanc. Il nous déclara avec emphase que le savant était mêlé à une importante machination, plus importante que nous ne pouvions l'imaginer. D'ailleurs, Constant avait été enlevé le midi même à son domicile. Selon la concierge, Il serait parti encadré par deux personnes "à l'air louche" mais je jeune homme avait contracté des dettes de jeu.
De plus, Podélius fréquenterait des gens dangereux à commencer par cette Léanan Sidhe assez connue à Paris : Atrytone Soufflecoeur. Une excentrique passionnée pour les inventions et la science, un cas unique parmi les Faé qui redoutent le contact des métaux.
Chateaublanc nous donna même l'adresse d'un des hommes de main de la sinistre Unseely, au 24 rue Fessard à Belleville. L'endroit idéal pour continuer notre enquête et tenter de sauver Constant.
Pendant tout son discours, l'homme semblait nerveux et à l'affût. Dès qu'il eut fini de parler, il prit congé en nous assurant qu'il ne pouvait répondre à nos questions et devait se retirer au plus vite.
Dagmar, Eirick et moi décidâmes de partir au plus tôt pour Belleville, non sana avoir pris le soin de me changer afin d'adopter une tenue plus pratique pour notre mission de repérage. Car il s'agissait uniquement de repérer les lieux en attendant Karl et Marie-Laure repartis interroger le docteur Podélius.
Ils devaient entendre de la bouche de celui-ci un tout autre discour sur Atrytone Soufflecoeur.
Arrivés à Belleville, alors que nous approchions à pied de notre cible, Dagmar repéra cinq individus au bout de la rue mal éclairée que nous avions empruntée. Ils se ruèrent sur nous penda tque leur chef criait "C'est eux" et à notre intention: "Soufflecoeur vous salue". Réagissant à la vitesse de l'éclair, Dagmar se mit devant nous et tira avec son mousquet à dispersion ce qui envoya aussitôt au sol trois apaches. Le quatrième ne demanda pas son reste et fuit à toutes jambes. Il restait leur chef qui tenta de porter un coup de gourdin sur Dagmar mais celui-ci esquiva l'attaqua d'un effacement d'épaule. Eirik entra dans le combat et tira au fusil, expédiant le malfrat au sol et dans le mouvement, il sortit sa hache.
Je réalisai alors qu'au mépris de la bien séance et des lois de l'Empire, j'avais traversé Paris avec des individus armés jusqu'aux dents.
Nous interrogâmes le survivant qui répondit avec empressement à nos questions, la pression qu'Eirik exerçait de sa botte sur son visage n'y étant pas totalement étrangère. Ils avaient été engagés par un certain Vaucanson, un magicien blond pour s'occuper de nous.
C'est alors qu'une voix féminine s'éleva dans notre dos : "Bonsoir, je crois que nous avons à discuter".
La nuit risquait d'être longue. Et avec tout cela, j'avais oublié d'envoyer à Célestin de Simon un bristol pour l'inviter au goûter que je lui avais promis.
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeVen 11 Fév 2022 - 15:32

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Suite de l'entrée sur l'arrivée d'Eirik à Paris, et l'enquête de l'automate Tueur - Jour 2
[…] Après avoir fin d’interroger nos agresseurs, nous avons été… « accosté » par la personne sur laquelle nous allions enquêter. A savoir Atrytone Souffle-Cœur. En effet, elle nous a retrouvé alors que nous allions espionner l’un de ses présupposé sous-fifre. J’ai eu le cœur qui en a battu la chamade ! Autant quand elle nous a surpris que quand mes yeux se sont posés sur elle et son air russe. On ne peut le nier : je doute que l’on pouvait être insensible à son charme (au sens figuré du terme), même si on ne le voulait. Voulant simplement nous parler, elle nous a invité à discuter chez elle, dans une grande et magnifique demeure. Marie-Laure et Karl nous ayant rejoint entre-temps, et pouvant difficilement décliner, nous acceptions, et nous rendirent chez elle. Ainsi, nous avons découvert une demeure qui, pour une personne du mal, m’a laissé bien coi. Au-delà de son apparence, qui n’a pas pour autant trahi son contenu, à savoir un intérieur orné de sculptures et autres peintures, comme n’importe quel demeure de riche, nous avons pu découvert un véritable atelier, avec des hommes qui travaillaient d’arrache-pied sur divers concepts scientifique. Après avoir traversé cette industrie, nous avons rejoint un salon, dans lequel tout était déjà préparé au millimètre. Il ne restait plus qu’a mettre les pied sous la table basse, et à commander nos boissons.
Nous devions maintenant en venir à une discussion nécessaire, sur et avec, Atrytone, les accusations planant sur elle ayant besoin d’une justification.


La 1ère question qui nous vint à l’esprit était, évidement, comment elle nous a retrouvé. Elle nous apprit qu’elle avait capturé quelqu’un et qui lui aurait soutiré, avec une douceur absente, notre position à un « prisonnier ». Dans un premier temps, j’ai pensé que ça pouvait être Constant, qui avait été kidnappé, mais après une entrevue avec ledit prisonnier, il s’avérait que ce n’était ni Constant, ni même une personne que nous connaissions. Il nous a dit s’appeler Anroine Ansem, et voir été contacté par un certain « Vaucanson », soit à un mort, et pas que depuis quelques jours. Néanmoins, il nous a décrit, après avoir reçus les petits soins de Marie-Laure, outré par le traitement qu’il avait reçu, qu’il avait parlé à un Vaucanson jeune, blond, aux yeux bleus. Riche de ses nouvelles information, Dag et Karl sont parti visiter la demeure et son atelier, tandis que nous autres avons tenu la conversation avec Atrytone. Elle a joué carte sur table, et nous a clairement avoué être une vampire (ou leanane shyde), et avoir « dû » charmer le docteur Podélius pour pouvoir l’approcher, même si elle dit « ne pas vouloir user et abuser du charme », ne voulant pas ressembler à ses congénères de la cour du mal. En effet, elle considère n’appartenir à aucune cour, ni du mal, ni du bien. Puis, après qu’elle est BIEN insisté pour savoir qui lui en voulait, nous lui avons parlé de la personne qui nous a mis sur sa piste. A savoir Lauter Chateblanc. Quand nous avons énoncé son nom, Atrytone c’est transformé en moi quand on m’apprend que je vais devoir danser avec des gens de la haute ! Elle nous a très vite fait comprendre et savoir qu’elle ne supportait pas Lauter, le caractérisant même de « porc ». Il n’est pas étonnant qu’elle n’est pas que des amis, surtout quand sa « nature originelle » penche vers le mal, mais avec Lauter, c’est pire, vu que celui-ci veux l’évincer de la ville. Et cela en compagnie d’un certain Hirsland Terginius, un seigneur faë.
Entre-temps, Dag et Karl sont revenu dans le salon, et nous expliqueront se qu’ils ont pu constater, à savoir que les « ingénieurs » travaillaient sur des concepts, tout en cherchant à rendre ses consepts, et d’autre déjà construit, utilisable par des faë (en utilisant des matériaux autre que du métal, comme du bois par exemple). Par ailleurs, ils ont remarqué que, malgré l’heure (il était minuit passé facilement), ses travailleurs étaient étrangement heureux de leur travail, et en bonne forme.


Le matin arrivant, nous allions partir quand un servant d’Atrytone signala qu’une nouvelle victime avait été faite. J’ai donc emmené tout le monde, même Atrytone (mais pas Marie-Laure, préfèrent battre des ailles), sur les lieux du crime en calèche (ça faisait longtemps que je n’avais pas conduit, et ça fait du bien… sauf peut-être pour Rani, j’ai pas compris pourquoi…). Une fois sur place, nous avons été accueillis par un contingent militaire, gardant la scène de crime. Ils nous laisser approcher le corps, non sans quelques réserves, et j’ai pu constater que la victime avait subit à peu près le même sort que les 2 autres victimes, et ce, malgré sa forte corpulence. Au-delà de ça, j’ai pu constater que cet homme portait un tatouage de l’armée, d’où la présence de forces militaires pour garder le lieu du drame. J’en viens à me demander si le côté militaire ne serait pas le point commun des crimes. Mais alors, que viens faire Lantier dans cette histoire ? Ou même, si c’était une victime collatéral, le Dr.Podélius ? Je n’ai plus idée sur la question, et encore moins le temps d’y réfléchir, puisque mes compagnons mon informé que le coupable c’est enfui par le réseau d’égouts. Alors, accompagné d’Atrytone, et d’un de ses appareils, servant à détecter la magie, nous nous somme lancé à sa poursuite.


Je ne m’étais pas rendu compte que je n’avais pas besoin d’aller bien loin pour trouver des labyrinthes, car les égouts des grandes villes en sont de vrai en fait ! Après avoir péniblement progressé dans ses sombres égouts, nous avons finalement réussi à retrouver ce que nous recherchions : Oroboros. Ou… c’est lui qui nous a retrouvé ? Je ne sais pas, mais dans tous les cas, ce n’était pas pour plaire à Marie-Laure, qui s’est pris un soufflet qui la mis à terre d’un coup ! Tant de puissance dans un automate, c’est à peine croyable ! Enfin… il avait quand même déchiqueter déjà trois personnes, mais en être témoin est une tout autre histoire. Il aurait pu faire de même avec nous, pourtant, il s’est enfui dans un flash lumineux, en direction des champs de mars, et plus précisément, de la tour Effel pour prendre un dirigeable, non sans avoir pris le soin de détrousser le manteau d’un anglais. Ainsi, nous nous sommes lancés à ça poursuite jusqu’au sommet de la tour, où il parvint à son but, sans pour autant nous avoir semé, puisque nous (bon d’accord, plus les autres que moi car j’avais le vertige) l’avons rejoint sur le dirigeable qu’il a « réquisitionné » pour pouvoir l’arrêter définitivement, avant de remettre l’aéronef à sa place (je ne savais pas que ça se pilotait comme une voiture d’ailleurs. Se serais peut-être un très bon moyen de locomotion pour parcourir le monde ?).


J’aurais bien voulu adresser deux mots à Oroboros avant qu’il ne se fasse embarquer ou être mis en pièce détaché comme l’ont fait mes compares (littéralement), d’autant plus que l’attitude qu’ils ont décrit quand ils l’ont finalement aculé m’a rendu des plus perplexe. J’aurais bien aimé comprendre se qui à pu l’animer, du moins, au-delà de la simple magie. Pour autant, je ne blâme pas mes coéquipiers, car sans doute aurais-je fini par faire la même chose. Après tout, un être implorant une mise à mort, dans son état, et après tout se qu’il a fait, pour ou contre (même si je pense plus à cette dernière option) ça volonté, mérite se choix.


Une fois que tout le bazar engendré à été nettoyé (et que cet enfoiré de chien de la garde de la tour à récolté tous les lauriers de la gloire, sans un mot en notre faveur ou un « merci »), nous avons rendu notre rapport à Marechauld verbalement. Nous lui avons fait par de nos LOURDE suspicions contre les mages, mais également de la description de se soi-disant « Vaucanson », et sa réaction ma donné l’air encore plus bête que je ne le suis déjà parfois. Eh oui ! jeune, blond, aux yeux bleus, c’est Constant tout craché ! Néanmoins, on pouvait le dire : c’étaient les meilleurs pires suspects, tellement nerveux naturellement qu’ils ne passent pas pour des criminels !
Il ne nous restait plus qu’a trouver des preuves, à leur encontre, pour le grand maitre de leur maison thaumaturgique : Léon Marsai. Les thaumaturges étant autant très puissant que très lourd dans ce monde politico-ennuyeux que les attaquer ou les accuser de front sans rien était autant un suicide réel que celui du second pacte, indirectement.


Seulement, la fatigue nous rattrapant, et nos odeurs corporelles étant plus que mis à mal (même pour moi, et pourtant, ce n’est pas fréquent que je m’en plaigne, merci ses égouts… !), nous avons dû stopper nos investigations pour aller nous reposer.
Entre-temps, Marechauld et son équipe sont partis enquêter, et, après quelques négociations, ont pu finalement nous apperendre que Constant n’avait pas été enlevé, au contraire, il est partit VOLONTAIREMENT de chez lui ! Avec les 2 hommes ! se TRAITRE ! j’espère vraiment qu’il a une très bonne raison d’avoir menti à tout le monde, ou je lui en ferais voir du pays ! Et pas la partie la plus agréable !
 
Fin d’entrée


Dernière édition par thunderbike le Mer 23 Fév 2022 - 17:23, édité 2 fois

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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 23 Fév 2022 - 12:56

Dagmar - Résumé

Suite à la défaite d'Aubéros, il nous a fallu démasquer le, la ou les coupables. Afin d'optimiser notre temps, nous nous sommes séparés.

Rani est retournée voir le meneur de la bande Du Contrat Social, Rousseau. Elle lui a demandé des informations sur Désiré l'Egyptien, afin d'établir un éventuel lien entre les victimes. Il semble au final qu'il n'était qu'un vieillard malchanceux, qui a eu le malheur de se trouver sur la route de l'automate.

Dans le même objectif, Eirik s'est rendu au ministère des Sciences pour se renseigner sur M. Lantière. Ce dernier était un scientifique pas particulièrement brillant, en tout cas pas par ses inventions. Pourtant, il s'est grandement investi dans les affaires du ministère sur le plan administratif. C'est grâce à des gens comme lui que des savants comme Podélius ou moi-même pouvons travailler dans les meilleures conditions. Paix à son âme.

Pour ma part, je suis allé étudier Aubéros. Je n'ai jamais pensé à autre chose depuis que je connais son existence. Cet automate, bien que très bien conçu, ne dégage rien de surprenant ou d'anormal... du moins, c'est ce que j'aurais conclu si un brave thaumaturge ne s'était joint à moi. Il décèle des traces de sorcellerie sur ce robot. Non maîtrisées, des harmoniques, comme il les appelle. Caractéristiques des mages débutants, mais potentiellement assez puissantes. Nous concluons que c'est de là que vient la force prodigieuse d'Aubéros, et c'est un véritable indice sur le coupable.

De son côté, Karl part inspecter le logement de Constant, qui s'est fait passer pour enlevé. La logeuse le laisse entrer moyennant 1 franc marchandé. L'appartement est parfaitement rangé, aucun vêtement n'y reste. On dirait que Constant n'a pas l'intention de revenir, on en vient même à douter qu'il habite ici. Seules quelques cendres dans la cheminée viennent dissiper ce doute. En cuisinant encore un peu la logeuse, elle confie que Constant passait tous les soirs, et qu'il sortait parfois juste avant la nuit.

Marie, quant à elle, est allée recueillir des informations sur le Constant auprès de Podélius, qui s'enquiert rapidement du sort de sa création. Elle lui fait part de potentielles traces de magie sur Aubéros, auxquelles il certifie être totalement étranger. Il déclare avoir confiance en Constant et laisse encore échapper son mépris pour les thaumaturges. Et si l'assistant maniait la magie ?

Après nous être retrouvés et avoir regroupé nos informations, il faut bien avouer que l'enquête piétine. Maréchau nous propose son aide en organisant une rencontre avec le Grand Maître des thaumaturges, au Temple du Chemin Vert.

L'homme se fait appeler Léonce Marcet, assez corpulent. Lorsque nous lui parlons de Constant et Lothaire, il nous explique qu'ils ont été radiés de cet ordre, et nous lisons entre les lignes que leur renvoi est plus récent que Marcet ne le prétend. Après une conversation inutilement longue, il nous donne enfin une piste pour les retrouver : Isvan Terginius, un seigneur Faë ami de Lothaire, que celui-ci fréquente de plus de en plus souvent. Nous décidons donc de lui payer une petite visite.

Nous nous annonçons mais nous rendons sur place tôt pour surveiller la demeure. Nous ne sommes pas déçus : Lothaire et Constant s'y trouvent avec leur hôte, et partent se cacher, alors que leur hôte se prépare à nous accueillir. Après les mondanités d'usage et avoir tourné autour du pot un certain temps, nous lui révélons l'existence d'un lien entre ces deux suspects et un meurtre. Heureusement, il nous croit et accepte de nous les livrer. Lothaire et Constant se rejettent la faute l'un sur l'autre. Nous les livrons à la justice, concluant l'affaire.

Quelques jours après ce succès, Maréchau nous informe que Jules Verne consent à nous voir. Il nous conduit non sans détour dans sa chambre d'hôpital : notre ministre est alité, et dans un état peu enviable. Maréchau nous confie alors notre prochaine mission : nous rendre à Vienne, et y trouver le docteur Victor Frankenstein.


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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeDim 27 Fév 2022 - 17:29

   A mon tour de narré nos palpitantes aventures.
 
  Je passerai rapidement sur nos tribulations Parisiennes, précédents notre départ pour Vienne à la recherche du Docteur Viktor Frankenstein. Le point le plus important était l’injonction, de Mr Maréchaux, d’être d’une extrême discrétion quand à l’état du Ministre Verne et de ne faire confiance à PERSONNE !!! Pas même à nos collègues du second pacte. A la suite de cet entretien nous sommes partis nous préparer chacun de notre côté.
 
  Nous priment des nouvelles de différentes personnes que nous avons pu croiser durant l’affaire Oberos, et j’appris le départ de Mlle Cagliostro pour la Normandie. Un doute sur mes décisions passé m’assaillie, mais je décidais d’essayer, au mieux, de continuer de faire confiance en l’honnêteté de la Demoiselle. Rani elle essaya d’en apprendre plus sur la cour sombre auprès de Mlle Soufflecoeur.  Nous avons ensuite préparé notre départ. Direction notre nouvelle mission à Vienne !
 
  Pendant que nous tentions de faire passer le temps de trajet, en dirigeable, de la meilleure manière possible, nous avons été attaqués, aux « abords » de Vienne. L’assaillant n’était autre que l’un de mes trois petits frères. Mais grâce aux efforts combinés de mes compagnons et moi-même nous avons réussi à le décourager assez pour qu’il s’en aille, non sans qu’il m’ait infligé de sérieuses brûlures. Je loue le courage et la détermination de Karl et Rani qui, par leurs efforts combinées, ont réussi à le fatigué assez pour le décourager de continuer la poursuite du dirigeable. Celui-ci qui, grâce aux talents de pilotage d’Eirik et à l’ingéniosité de Dagmar, s’est vus imprégner d’une énergie nouvelle qui l’a fait accélérer grandement. Au final il n’y eu que plus de peur que de mal pour les autres passagers. Je prends note, qu’encore une fois, je fus la seule à sortir blesser d’une rencontre hostile.
 
  Suite à cet épisode difficile, notamment pour moi, nous arrivâmes à Vienne. Pendant que mes compagnons trouvaient un hôtel pour se reposer avant notre rendez-vous avec notre contact, le lendemain midi, je me reposais, personnellement, à l’hôpital pour soigner mes blessures. J’eu bien sûr, avant ca, à discuter avec les autorités locales pour mettre au clair la situation dans laquelle nous nous sommes retrouvé. Mes compagnons, eux, ont logés à l’hôtel Ludwig. Le lendemain, juste avant notre rendez-vous, Rani et Dagmar ont fait le Tours de Vienne en calèche. Karl à pris rendez-vous avec ses anciens camarade. Je me reposais à l’hôpital et Eirik à vaquer a une occupation inconnue. La seule chose que nous avons pu voir c’est que quand nous nous sommes rejoins pour notre rendez-vous, au café Schwarzenberg, il n’avait pas l’air dans son assiette. Au propre comme au figurer d’ailleurs.
 
  Notre contact, pour cette mission, était Simon Neumann, un lutin à la chevelure et pilosité grisonnante. Il nous appris que le Dr Frankenstein était arrivé à Vienne il y a un mois, mais qu’il avait disparu des radars des agents du second pacte depuis 2 semaines. Il nous rappela aussi le domaine de prédilection du Docteur, qui est la création d’automate de chair. On apprit entre autre qu’il c’est rapproché d’une « secte » de thaumaturge du nom de l’aube dorée, spécialisé dans la nécromancie. Il aurait aussi participé à un banquet impérial. Depuis sont arrivé il a aussi été noté une recrudescence de phénomène étrange. Des meurtres en série avec des corps étrangement mutilés, des attaques nocturnes et des morceaux de chairs humaines retrouver un peu partout. On apprit aussi qu’il logeait au Grand hôtel de Wien et que, malgré sa disparition sa chambre continuait d’être payée. A la suite de cet entretien, Simon nous donna le moyen de le recontacter et nous nous séparâmes pour rechercher des informations.
 
  Rani et Dagmar allaires consulté les articles de presse locaux. Ils y découvrir que la fréquence des crimes augmentait de jours en jours et qu’ils étaient localisés dans l’enceinte de la vieille ville. Ils notèrent mais sans y prêter plus d’attention les titres « attire l’œil » de certains journaux populaires parlant de morts ambulants et de squelettes mouvants. Eirik, lui, se rendit à la morgue pour examiner les cadavres retrouvés. Ne pouvant y avoir accès par une voie plus classique, il due s’y introduire discrètement et, tel un fantôme, il fureta pour trouver des informations. Il y découvrit des corps de personne censé être morte récemment avec l’apparence putréfié de corps en décomposition depuis des années. Il déroba le registre de la morgue pour le consulter plus tard avec le groupe. Karl alla à son rendez-vous avec ces anciens collègues. Rencontre qui débuta avec un « enlèvement » et une discussion dans le sous sol d’une boucherie avec Victoria Füchs, une ancienne collègue de Karl, et ses sbires. La discussion révéla la grande amitié entre l’archevêque de Vienne, Joseph Otmar Von Rauscher, et le Dr Frankenstein. C’est d’ailleurs lui qui l’aurait invité au bal impérial. Cependant, il fut noté que durant la soirée L’archevêque et le Dr ce sont disputés. On peut présumer que cela pourrais être dû au fait que l’archevêque fasse partie de l’ordre de saint Boniface, ennemi de l’aube dorée. Et un des sbires de Victoria aurait aperçu un squelette.
 
  A la suite de cela, Rani, Eirik et Karl se rendirent à l’hôtel du Dr pour enquêté. Seul Rani put s’introduire dans la chambre. Elle y découvrit des traces étranges sur la rambarde de la fenêtre et remarqua que celle-ci avait été forcée de l’extérieur. Ce qui laisse penser que le Dr aurait pu être enlevé. Elle trouva aussi une lettre caché derrière un petit coffre fort. Celle-ci contenant un message codé indéchiffrable pour le moment (la teneur de ces découvertes me fait, notamment, douter de l’efficacité de l’équipe charger d’enquêter sur la disparition du Dr). En partant de l’hôtel mes trois compagnons ont commencé à se faire suivre par individu encapuchonné. Ils ont, heureusement, réussi à les semer en entrant dans un café.
 
  Pendant tout ce temps pour ma part j’ai réussi, grâce aux contacts de ma Mécène la comtesse, à me faire inviter à une soirée organiser par Mlle Langmar, une noble veuve qui s’occupe en organisant des salons, surtout scientifique. Il est d’ailleurs dit qu’un certain Elrich Horlogeur, inventeur et automaticien de renom, sera présent avec sa compagne lady Cécily. J’espère pouvoir y trouver nombre d’information utile pour notre enquête. J’ai donc passé mon après-midi et mon début de soirée à me préparer mentalement et esthétiquement à cette rencontrer. J’ai notamment passé du temps à trouver un moyen de camoufler du mieux que je le pouvais les blessures infligées par mon frère. J’espère ne pas avoir de mauvaises surprises …

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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeVen 11 Mar 2022 - 9:27

Cher journal,

Vienne est une charmante ville mais je n'ai point eu beaucoup le temps d'en apprécier les charmes si ce n'est ce tour en calèche ainsi que le chocolat viennois accompagnant le strudel que j'ai pu savourer dans ce café où Karl, Eirik avons trouvé refuge. En effet, notre visite à l'hôtel où séjournait Frankenstein n'était pas passé inaperçu malgré tous nos efforts de discrétion. Un homme encapuchonné épiait toujours la façade du café depuis l'autre côté de la rue, attendant notre sortie.

Pendant ce temps, Marie-Laure enquétait dans les salons de Madame Langmar. Elle devait, elle aussi, avoir affaire avec les mystérieux personnages encapuchonnés mais j'y reviendrai plus tard.

Le patron du café où nous nous étions réfugiés nous fit sortir par l'arrière de l'établissement dans une ruelle déjà remplie de brûme. Karl nous fit passer par maints détours pour égarer nos poursuivants et seule la présence masculine de mes deux compagnons me permit de calmer l'angoisse qui m'étreignait. Enfin nous parvîmes à notre hôtel.

Je pus alors leur montrer la lettre que je conservais cachée contre mon sein. Comme je l'avais présenti, elle était codée mais son chiffre ne résista pas longtemps à nos trois esprits combinés. Il m'apparut même un peu trop simple. La lettre était un acte officiel dans sa formulation : une lettre patente accordant au sieur Frankenstein le titre de Chevalier de l'Aube dorée, grand Maître de la loge de Vienne, charge à lui de la créer.

C'est un état de profonde stupéfaction que nous trouva Marie-Laure. Une fois de plus, elle rentra tuméfiée et ne se fit point prier pour nous narrer ses aventures.

A la soirée de Madame Langmar, elle avait pu approcher le Comte de Navarre, M. Elrich Horlogeur et son épouse Lady Cecily et l'archevêque Josef Otmar Rauscher.

Ce dernier ne lui parut pas dire la vérité. Il prétendit que le Docteur Frankenstein était reparti en Suisse et qu'il ne s'était en aucun cas brouillé avec lui.
Puis elle entama la conversation avec Elrich Horloger, un nain accompagné d'une superbe humaine qui s'avéra, après inspection de l'oeil inquisiteur de Maire-Laure, être un automate. Ce qui nous fait beaucoup d'automates et de créateurs de ces machines, autour de nous. Horloger se présenta comme un grand ami de Frankenstein et avait l'air inquiet à son sujet.
A sa sortie de la soirée, Marie-Laure eut la sensation d'être suivie. Elle adopta la même tactique que nous mais avec moins de succès. Rapidement rattrapée, elle subit une brutale agression des hommes encapuchonnés qui lui déclarèrent "Vous et vos amis, quittez Vienne, dernier avertissement !"
Il nous fallait leur donner le change et le lendemain nous organisions un faux départ de Vienne, changeant de vêtements dans le train encore à quai et filant en douce avant qu'il ne parte. C'est ainsi que nous pûmes filer les mystérieux et sinistres individus jusqu'à leur repaire dans une petite maison de la vieille ville. En la dépassant, nous entendîmes les cirs de souffrance d'un homme. Nous pénétrâmes par effraction, les uns par la porte de devant, les autres par la grille du jardin à l'arrière. Je ne conterai pas par le menu la façon dont les malfrats furent neutraliser car je me gardais bien d'avancer en tête et laissais la gente masculaine s'en occuper. Une fois de plus, aux bruits de tir qui se firent entendre, je sus que mes compagnons n'avaient pas choisi la solution la plus pacifique. Il semble que les lois d'un pays civilisé ne représentent que peu de chose à leurs yeux. Je dû pour ma part blesser un des"sectateurs" d'une balle du révolver que m'avait fourni Dagmar non sans avoir auparavant demander à l'individu de ne plus bouger.
Mes compagnons remontèrent bientôt de la cave avec un homme à demi-mort tant il avait été battu, que Marie-Laure me présenta comme le Comte de Navarre. Il nous révéla mener lui-même une enquête sur la disparition du docteur Frankenstein au nom des Illuminatis de Bavière dont il fait partie tout comme le docteur. Il semble notoire dans les milieux avertis qu'Illuminatis et Aube dorée soient des loges ennemies.
La présentation faite, il nous invita à nous précipiter voir un ami à lui qui pourrait nous aider dans notre enquête. Nous le suivîmes jusuqu'à une petite église franciscaine. A notre entrée dans l'édifice, des bruits sourds nous menèrent jusqu'à la sacristie. Là, le moine gisait et avec les dernières forces qu'il lui restaient ouvrit le nouveau testament au chapitre 7 des Actes des Apôtres :
01 Le grand prêtre demanda : « Cela est-il exact ? »
02 Étienne dit alors : « Frères et pères, écoutez ! Le Dieu de gloire est apparu à notre père Abraham, quand il était en Mésopotamie avant de venir habiter Harrane,
03 et il lui a dit : Sors de ton pays et de ta parenté, et va dans le pays que je te montrerai.
Dans un dernier effort, avant de mourir, il souligna d'un doigt maculé de sang le saint nom d'Étienne.

 




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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMar 5 Avr 2022 - 15:48

[work near to be finish, il manque juste quelques détails, mais tout les faits sont là!]

[…] Une fois le moine définitivement parti aux cieux, et la présence des catacombes révélé, je… j'ai cédé. C'en était trop… le poids de mon secret, les dangers qu’il représente pour la mission, la ville, l'équipe… pour moi… Je n'en ressentais même plus ses deux balles que je me suis pris quelques minutes auparavant. Je dirais même plus : j’arrivais plus à penser. Jusqu’à ce que Dag m'ausculte et cherche à dévoiler se qu’il se cache sous les bandages de mon bras droit. J’ai pensé à l'en empêcher, comme d’habitude, mais… cette fois si, il fallait que la vérité éclate. Il y avait trop d’enjeux… et c’était devenu trop lourd à porter dans ses conditions.

Alors j’ai laissé faire… et j’ai tout expliqué : la malédiction, l’artefact, comment elle m'a atteinte… tout.
J’ai expliqué que, il y a [chiffre] ans, j’avais découvert une pyramide encore inexplorée. J’ai donc convaincu mon père adoptif de sortir de sa retraite, et j’ai monté une expédition dans le but d’en percer les secrets. Cela s’est avéré fructueux, puisque nous sommes revenus les bras chargés d’antiquités, et avec un objet, que dis-je, un artefact, sous la forme d’une amulette. Celui qui l’exposerais au grand jour aurai été sans doute célèbre ! en plus d’être riche. Seulement, mon père avait décidé de la garder « pour vérifier qu’elle ne posera pas de problème ». À ce moment-là, je pensais qu’il voulait s’accaparer tous les lauriers de la gloire, alors qu’il avait déjà de quoi faire ! Je ne me doutais pas qu’il c’était rendu compte que l’on avait récupéré un objet qui n’aurait jamais dû être sorti de son sanctuaire.
Ainsi pris de jalousie, et dans une nuit profitable, j’ai subtilisé, sans précautions aucunes, l’amulette, pour tenter de fuir avec. Evidement, mon père avait dû voir le coup venir, puisse qu’il m’a rattrapé, me lâchant tout les noms d’oiseaux qu’il avait en tête, avant de tenter de remettre « en sécurité » l’amulette. C’en ai suivi une échauffourée, au cours duquel j’ai assommé mon père. Je ne voulais pas lui faire du mal… mais il était un peu tard pour les regrets… mais c’était à se même moment que je me sui rendu compte que ma main droite n’était pas vraiment en bonne santé, et que j’ai pris la fuite, de panique, en abandonnant l’amulette sur les lieux de l’agression.
Quand j’ai finalement repris mes esprits, et que j’ai décidé de retourner voir mon père, dans l’espoir qu’il ait une solution, il avait disparu, et l’amulette avec. Et pour le camp… c’était bien pire. Plus de la moitié des membres de l’équipe lacéré, mordu, déchiqueté… un vrai carnage. Quant au reste, nul ne sait ce qui leur est arrivé. De cet expédition, seul moi en ai ressorti indemne, plus ou moins. Même maintenant, alors que tout ça est derrière moi, et que j’écris, aujourd’hui, ses lignes, je ne peux me retenir de pleurer, comme je l’ai fait lorsque j’ai raconté cette morbide histoire aux autres membres de l’équipe.

Ainsi, je leurs ai également expliqué en quoi consistais cette malédiction, et l’objet qui lui est lié, à savoir :

« L’amulette [input the form] procure à son possesseur le pouvoir de commander aux morts à la voix, peu importe leur état. Néanmoins, quiconque ayant un contact direct avec l’amulette deviens maudit, et commence, lui-même, à se transformer en mort-vivant, une « carcasse » comme l’indiquait les textes que j’ai pu retrouver, à partir du 1er point de contact uniquement. Si cela devait se produire, la personne maudite devrait s’éloigner autant que possible de l’artefact. Et je ne parle pas en mètre, mais plutôt en 10ènes de kilomètres, voire plus. Au-delà de ça, le fait d’être un géant, ou un nain, ne procure ni plus, ni moins de temps, puisque la vitesse de propagation est proportionnelle à la taille de la personne. De façon à se que, en supposant que 2 êtres maudits soit à la même distance de l’amulette, ceux-ci seraient complétement changé en même temps.
Par ailleurs, dès lors qu’une personne est maudite, elle est « morte » aux yeux de l’amulette, et donc, sensible aux ordres de son possesseur, sans pour autant y être soumis. Sauf si l’être maudit dont on parle EST le possesseur, auquel cas, il ne peut pas s’auto-donner d’ordre.
Enfin, mais pas des moindre, si l’infection venait à toucher le cerveau de l’être maudit, peut importe la progression de l’infection, celui-ci perdrait peu à peu la raison, jusqu’à se que l’infection recouvre tout le cerveau. Auquel cas, il serait l’esclave de l’amulette, ou à défaut, de son instinct le plus primaire. A savoir manger tout ce qui bouge… »

Une fois m’avoir « anesthésié » pour me soigner (oui, ils m’ont assommé…), nous avons interrogé le prisonnier que l’on avait réussi à faire lors de la libération du conte de Navare. Il nous a révélé qu’il travail pour l’archevêque de Vienne, en plus que celui-ci a des méthodes… peu orthodoxe envers les personnes qui le trahissait.
Avec ses informations, plus les catacombes, et se que j’avais révélé sur la malédiction, nous savions, et avons décidé qu’une visite de la cathédrale St-Etienne, là où l’archevêque réalisait son office, et où se trouve les catacombes, s’imposait.

Une fois arrivé sur place, malgré une purée de pois sans nom, nous n’avons pu que constater que les lumières étaient allumées, mais que toute les porte étaient fermé, sauf celle du toit. J’en connait un qui aurai hurlé à l’hérésie, tellement ce n’était pas normal, heureusement qu’il n’était pas avec nous.
Vu que le temps, ni la situation n’était à l’attente, Marie-Laure est passé par le toit pour nous ouvrir, et c’est ainsi que nous avons pénétré dans la cathédrale.

Une fois à l’intérieur, nous pouvions qu’être admiratif face à la grandeur, physique et d’architectural, de l’édifice. Mais bon, non n’avions pas le temps de nous extasier plus que ça, après tout, nous avions un devoir à remplir… et des curieux à appréhender, puisque nous étions épiés par quelqu’un dès notre entré dans les lieux !
Marie-Laure est donc partie à sa poursuite, tendis que les autres et moi-même, se sont dirigé vers le lieu le plus probable des méfais, à savoir : les catacombes.
 
De ce qu’elle m’a dit, Marie-Laure est bel et bien parvenue à arrêter le curieux. Qui n’était t’autre que l’archevêque lui-même ! On savait tous qu’il trempait dans ses louches affaires, mais il a confronté Marie-Laure avec un sang-froid et des arguments si déconcertant, qu’elle n’a pas pu trouver de solution pour le mettre au fer et qu’elle a préféré le laisser partir. Quand je l’ai appris, bien sûr que j’étais frustré, et pas qu’un peu ! cet *jurons très polis* était en possession d’un objet capable des plus grands désastres et qui a détruit le peu de chose relativement fixe dans ma vie. Et lui, il fait quoi ? Il s’en sert pour lever les morts et tuer des personnes dans le plus grand des calmes ! Franchement, cela aurait été moi qui aurais été devant lui, il serait déjà mort ! Et encore plus franchement, pas sur qu’il aurait apprécié le temps que j’aurais pris avec lui. Pour sûr qu’il m’aurait supplié d’en finir ! Mais bon… se n’était pas moi qui était en face de lui, et je n’ai pas à lui en vouloir. Je la connais, se n’est pas, mais vraiment, pas son genre, sans conter que, de mon côté, c’est personnel, pas de celui de Marie-Laure. Alors j’étais le seul à pouvoir faire une réaction que beaucoup dirait qu’elle est… disproportionné.
 
Enfin, du coup, le reste de notre troupe est descendu dans les catacombes, où nous avons pu surprendre une scène des plus surprenante, du moins, pour moi : un nain, tenant en main l’artefact, psalmodiant avec ! De plus, se trouvait, dans le coin de la pièce, le Dr. Frankenstein ! Bien que très mal en point, il était encore en vie. Nous avions nos objectifs : éliminer la menace que représentait l’amulette, et mettre en sécurité le docteur. Il ne nous restait plus qu’à intervenir. Seulement, dans des catacombes, il y a des morts. Donc évidement, des pantins pour le détenteur de l’artéfact ! Sans conter que… j’en fessais parti, en un sens. Heureusement que Rani avait réagi, et m’a assommé. Oui… j’ai fini 2 fois dans les vapes en un jour… ma tête l’a bien senti le soir même, à l’hôpital. D’ailleurs, je n’ai pas été le seul à être sorti de là la queue entre les jambes : [un/des nom(s)] s’en est sorti en piteux état. Pire que moi avec mes deux balles dans le corps, c’est pour dire au combien la lute devais être ardue. Enfin, de se que l’on m’a raconté, dès que le nain fut vaincu, la bataille fut terminée, puisque les morts sont redevenus tel qui devais être… mort.


Ainsi, malgré notre état plutôt… préoccupant à la fin de cette escapade, nous avons réussi à mettre le docteur ET l’amulette en sécurité. Cette dernière à été confiée au conte de Navarre et aux Illuminées de bavière. Avec se genres de chose en leur possession, et le fait que se n’était pas comme si cela fessait à peine quelques heures que nous nous connaissions, je ne sais pas si je peux leur faire tout à fait confiance, mais entre le fait qu’ils sont ennemis de l’aube dorée, et qu’ils m’ont proposé de l’aide pour ma malédiction, je ne peux que vouloir y croire.
 
Mais avant tout ça, il fallait penser nos blessures, qui était loin, très loin, d’être légères, surtout celles du docteur, qui ont nécessité près de 2 semaines pour qu’il soit, à défaut d’être en bon état, capable de et d’être déplacé. En un sens, cela a pu nous donner le temps de bien récupérer nous aussi, donc on ne pourra pas s’en plaindre.
Enfin, certains plus que d’autre, puisque nous avons été invités à une cérémonie pour nous décorer de « la grande croix de l’ordre de François Josef ». Pfffff… encore des soirées en grande pompe… je DETESTE ça ! Surtout que, bien évidemment, il fallait danser, et que j’ai manqué 5 à 7 fois de marcher sur les pieds de Rani et de me ridiculiser en public ! Mais… on ne peut pas être mécontent de recevoir des distinctions, si ? Moi, même si le cadre où on me l’a donné et la raison de cette distinction ne sont pas ceux qui me ferais le plus plaisir, je ne suis pas malheureux d’avoir été reconnu pour de grandes action au moins, même si elle découle des pires.
 
Ainsi, plusieurs semaines passèrent, et le docteur était enfin remis. Il ne nous restait plus qu’a le ramener à Paris, non sans l’avoir un peu questionné sur ce qui s’est passé à Vienne quand même. Il nous a alors expliqué qu’un Nain était arrivé à Vienne avec pour but de créer une loge de l’aube dorée. Il nous a décrit un Nain a l’accent Italien, et sa description m’était étrangement familière, mais… je n’arrivais pas à m’être de nom dessus.
Une fois être arrivé à Paris, nous avons donc fait notre rapport au ministère. Et pour ainsi dire… j’avais l’impression d’avoir été pris pour un con, puisque : premièrement, Maréchaul était « parti en mission » alors que Jule Verne se meurt, enfin… et c’est un second point, nous avons fait notre rapport à Jule Verne lui-même, apparemment, en parfaite santé !
Fin d’entrée


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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 6 Avr 2022 - 17:43

Dagmar - Résumé

Jules Verne, tout frais ressorti de sa convalescence, nous demande d'aller quérir Maréchau, qui aurait trahi le Second Pacte. Nous nous séparons afin que chacun se prépare pour cette prochaine mission.

Mary part rendre visite à une amie Comtesse, mais garde leur entrevue secrète. Elle apprend cependant que Cagliostro serait décédée en Normandie.

Pour ma part, je demande à Atriton si elle a travaillé sur un nouveau détecteur de magie, et elle accepte avec joie de me prêter son nouveau prototype.

Pour en revenir à Maréchau, il semble avoir disparu après avoir tiré sur un certain Corentin Loiseau. C'est l'inspecteur Truffaud qui s'est chargé de l'enquête. La mère dudit Loiseau a assisté à une dispute entre son fils et notre suspect. Ce dernier a également perçu deux importantes rentrées d'argent €€ récemment : la première peu avant que Jules Verne tombe malade, la seconde juste avant la soirée du Pr Podélius.

Qui a payé Maréchau ?

Suite à ce meurtre, le ministère des Sciences a subi une grosse vague d'arrestations, essentiellement sur des scientifiques ayant un rapport de près ou de loin avec la Prusse. Dieu sait que je n'ai rien à me reprocher, mais je crains tout de même d'être accusé à tort.

Enquête :


Chez Mme Loiseau :
- "Coco" était gradé de l'armée
- En 1ère mission pour J. Verne
- Cris en bas le jour du meurtre, dont les mots "complot", "pour qui travailles-tu ?", Maréchau quitte sur un "ce n'est pas fini"
- Le soir, un homme tout en noir, qui portait un chapeau. Mme L. ne l'a vu que de dos.
- 2 détonations, 1 seule balle retrouvée, empreinte de l'arme de M.

Inspecteur Truffaud :
- Homme très occupé (bureau en bazar)
- Selon lui, affaire classée
- L'argent €€ de M. est trop difficile à tracer, il faudrait l'accord des banques anglaises
- Confirme que Loiseau était militaire
- Loiseau a été recruté par JV en personne

Chez Maréchau :
- Peu cossu (où €€ ?)
- pas de photo
- journaux récents sur enquêtes et meurtres
- militaire, carré
- manque d'objets personnels
- l'endroit n'a pas été fouillé



Après l'enquête, Mary reçoit une lettre de J. Cagliostro, qui lui lègue un héritage, dont une lettre qui parle d'amis ensevelis dans notre coeur... signée AD 1844, ainsi qu'un contenant bloqué par un code à 11 lettres.

Rani, quant à elle reçoit du courrier de Rousseau du contrat social. Celle-ci lui donne rendez-vous dans un bar des quartiers défavorisés. Une fois sur place on nous informe que des policiers nous ont suivis. Après les avoir confondus, notre contact nous conduit aux Buttes-Chaumont où, dissimulés, nous interpellent Rousseau... et Maréchau.
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 4 Mai 2022 - 15:19

Suite de nos aventures !
 
Alors que nous continuons de se débarrasser des policiers à nos trousses mes autres collègues, aux Parcs des Buttes-Chaumont rencontrèrent Rousseau et Maréchaux. Ils étaient accompagné de Güdrüne, une Fougre. Maréchaux était en piteux état. Il nous a avouez que le ministère était compromis. Qu'il avait réussi à cacher le véritable ministre Jules Verne et nous a donné le contact de deux de ces agents encore infiltré au ministère. Alceste Daucourt et Marie Noël Plouf.
 
Nous nous retrouvâmes au café après cette rencontre et eurent une discussion sur qu'elles étaient nos objectif et possibilité d’actions. Bien que j'étais moi-même encore très absorbé par l’énigme m'a laissé Mlle Cagliostro. Les doute de Eirik quand à la mort de celle-ci le poussa à aller en secret au Père Lachaise pour vérifier les faits. Après une altercation avec le gardien, il pu confirmer que le cercueil était vide et nous rapporta cette nouvelle le lendemain matin.
 
Malheureusement au même moment, avant d’avoir pu réprimander Eirik, nous recevions une très mauvaise nouvelle via le journal. L’arrestation de la comtesse DUFORT. Elle a été arrêté sous prétexte qu’elle serait en relation avec un certain William Baugarten, qui serait soupçonné d’être un agent Prussien. Mais nous savons tous que ce n'est que diffamation et je compte bien faire en sorte de la libéré le plus vite possible.
 
Karl alla à la rencontre de ses camarades anarchiste pour récupérer des informations, de l'aide et trouver un abri pour nous cacher. Il reçu l’adresse d’une pension pour travailleur où nous pourrions aller.
 
Grâce à Güdrüne nous avons pu prendre contact avec Alceste, qui je pensais qu’il était la clé qui nous aiderai à résoudre l’énigme laissé par Mlle Cagliostro, mais ce n'était pas le cas. La rencontre se fit aux Buttes-Chaumont. Alcetse nous donna des informations sur de Frankenstein. Il serait retenu en secret au ministère avec les autres automaticiens. Le ministère les ferais travailler sur un projet secret qui aurai pour but de convaincre l’empereur de rentrer en Guerre ouverte et de brisé le Second Pacte. Il nous fallait donc un plan pour exfiltrer le docteur Frankenstein et les autres scientifiques. Et faire en sorte de retarder le plus possible la présentation du projet pour éviter une guerre.
 
Pour ma part j'allais à la bibliothèque pour enfin résoudre le mystérieux héritage de Mlle Cagliostro.  J’ai enfin pu réussir à trouvé la clé du mystère après avoir longtemps cherché. L’énigme me révéla un nom et une adresse à Etretas où nous avions déjà envoyé Sangor, le Majordome de Rani, pour trouvé des indices sur la mort de Mlle Cagliostro. Je me précipitais hors de la bibliothèque et m’envola pour rejoindre Sangor le plus vite possible en oubliant de prévenir mes collègues.
 
Rani, Karl, Güdrüne allèrent aux archives nationales pour essayer de récupérer le plan des égouts et du ministère pour mettre en place une stratégie pour libérer les scientifiques. A la suite de cette enquête, Güdrüne partis faire un repérage des égouts. En y allant ils notèrent un grand nombre de patrouille de police. Et dans les égouts, la voie d’accès au ministère était gardée. Dagmar était en train de travailler à la fabrication d’un électroaimant. Eirik alla de sont côté rencontrer l’archevêque de Paris pour faire soigner son bras. Au soir de cette journée ils ont tous commencé à mettre en place un plan d’action.
 
Pour ma part j'ai retrouvé Sangor à Etretas et j’envoyais un message pour prévenir mes collègues. J'ai pu aller à l'adresse indiquer dans le message de Mlle Cagliostro. J’y rencontrais un certain Louis Valmeras au château des Aygues. Cet homme mystérieux me fit Passés par un escalier secret qui déscendait sous terre. En arrivant près d’une petite rivière souterraine il me fit monter dans une embarcation pour nous emmener dans une grotte où j'ai eu le plaisir de pouvoir retrouver mademoiselle Cagliostro bien vivante ! Elle me révéla les raisons de son mensonge concernant sa mort. Elle parla de la possibilité d’implication de son père dans les événements qui secoue Paris. Il se serais évadé de prison grâce a l’aide des Seigneurs de la Vapeur. Elle m’offrit son aide pour résoudre les problème de Paris. Pour nous assister dans cette quête elle me présenta plus officiellement son ami Louis Valmeras, qui n’est autre que le célèbre Arsène Lupin !
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeSam 7 Mai 2022 - 12:26

Fond d'un bar peu fréquenté à cette heure, Karl discute avec un homme :
<< alors comme ça vous avez même réussi à rencontrer l'autre aristo' à écaille ? Bien joué. C'est juste dommage qu'elle vous ait lâché juste après Lupin. Je vais voir ce que je peux vous dire de mémoire.

Pour bien remettre les choses en place, quand elle a rencontré Lupin on était en pleine nuit. De notre côté on attendait de retour de Güdrüne avec les infos, donc on n'a pas bougé cette nuit. Je te raconte pas la surprise quand on a vue débarquer la dragonne accompagnée d'une morte et d'un mec habillé en banquier. Ils avaient roulé toute la nuit pour être là à temps, les acharnés.

L'autre grande surprise de la matinée, c'était de voir nos gueules dans les journaux, à Dagmar et à moi, en tant qu'ennemie d'État et espion recherché. Bon, on s'y attendait un peu, mais là ça devenait un vrai problème, fallait qu'on se planque. Le journal avait plein d'autres infos croustillantes, en gros les salauds qui léchaient les bottes du nouveau ministère parce que l'ancien les avait condamnés étaient réhabilité, sortie de prison ou récupérait leur titre. En plus l'enquête contre Eirik continue, même si elle semble piétiner.

On avait à ce moment deux objectifs :  Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte 261d pas se faire prendre,  Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte 270c trouver un moyen de récupérer Frankenstein (via un assaut intelligent et précis du ministère). Pour maximiser la discrétion, on s'est séparé afin que chacun cherche des infos et des ressources dans son coin.

Rani est partie dans les rues, faire du repérage du côté du ministère, vu qu'elle est discrète et qu'elle n'a officiellement rien à se reprocher. Elle a retrouvé un de nos contacts au ministère qui lui a filé pas mal d'infos utile, comme l'organisation du sous-sol (que je détaillerais plus tard), qui dirige la garde ( un certain lieutenant Carpentier) et il l'a laissé observer l'uniforme. Elle a ensuite passé son après-midi à faire de la couture pour refaire les dits-uniformes, avec l'aide de Marie-Laure, Eirik et Cagliostro.

Dagmar a passé la journée à terminer son électro-machin là, il voulait être sûr qu'il le lâche pas au pire moment. Il a aussi fait le trajet depuis son atelier improvisé dans une décharge jusqu'à la nouvelle planque.

Moi dans tout ça, je me suis occupé de trouver cette nouvelle planque justement. Heureusement, Danielle Sauvageot m'a encore aidé : Elle m'a planqué dans un entrepôt, et a aidé Dagmar à me rejoindre. J'ai passé le reste de la journée à bricoler des fumigènes au poivre, histoire de ralentir un peu les force là-bas.

On s'est presque tous retrouvé dans l’entrepôt, et on a mis au point un plan. On savait que :
- le -1 c'est des bureaux
- les -2 et -3 sont peut-être les étages où se trouvent les prisonniers
- le -4 est inconnu, et sans doute dangereux
- le -5, c'est l'atelier
- des invités étranges ont été vue au ministère, certains semblent ouvertement Prusse ou même des unseelies.
- le tunnel dans les égouts mène quelque part au sous-sol, et il n'a qu'un seul garde.
- Le lieutenant Carpentier dirige la garde du ministère.
- il y a deux moyens de descendre depuis le ministère : un escalier et un ascenseur.

On a donc décidé de se séparer en deux groupes : un groupe extérieur qui fait diversion et sabote l'ascenseur, un groupe intérieur qui passe par les égouts et tente de se faire discret. Les groupes ont été décidé comme ça : en haut Rani, Lupin et Cagliostro, en bas Sangor, Marie-Laure, Dagmar, Güdrüne, Eirik et moi. L'assaut a été fixé en fin d'après-midi.

Afin de simplifier les choses, on a passé la matinée à préparer le terrain : Rani a envoyé des chocolats piégés à Carpentier pour lui donner la chiasse, Dagmar a passé la matinée à tenter de faire disparaître son accent, l'aristo' s'est entraînée au combat avec Lupin, le nain est allé se faire soigner par l'évêque Karl crache par terre et moi j'ai négocié avec Danielle pour qu'il y ait une manif' devant le ministère en même temps, histoire de foutre un peu plus le bordel.

Du coup on s'est infiltré à l'heure prévue, tout se passait bien jusqu'à qu'on découvre où débouchait la trappe : on était au -4. Un endroit étrange, où ils faisaient pousser des trucs sous des lumières magiques et où des gardes se servaient de singes contrôlés par la pensée pour faire le boulot à leur place. Ils avaient une sorte de casque bizarre qui permettait de faire ça, l'avantage c'est qu'une fois débarrassé de ça, ils faisaient plus rien. On s'est un peu fait tabassé, mais globalement on a plutôt bien géré.

En haut ça c'est moins bien passé, il y avait beaucoup de monde et vue comme Rani est connue, ça simplifiait pas les choses. Mais bon, vue qu'on a des bons alliés et qu'elle n'est pas mauvaise en infiltration, ça passait encore assez bien jusqu'à ce qu'elle se retrouve en face d'un mec, le genre qui te glace le sang d'un regard. À  ce moment-là, on était presque sûre que c'était un unseelie, et elle a pris peur.

Après ça ... une horloge sonne six fois au loin. Merde, j'avais pas vu l'heure. Désolé, j'ai des trucs à faire. N'hésite pas à me recontacter si tu veux la suite >>
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMar 17 Mai 2022 - 12:23

JOURNAL DE BORD DU MERCREDI 11…
 
Quelle aventure nous avons vécue avec mes compagnons de fortune et d’infortune ! Je sens que nous sommes proches de dénouer cette machination. Mais je m’égare… Reprenons ce que mes sens encore endoloris se rappellent.
Après nous être sorti des égouts parisiens, j’étais toujours métamorphosé en singe. Nous parvînmes à pénétrer dans le ministère et au quatrième sous-sol, après cette lutte acharnée contre des gardes contrôlant des chimpanzés le calme régna sur cette partie du ministère. Il était 20 heures et comme à mon habitude, à 20 heures, la faim me tiraille les entrailles et je deviens bougon. Heureusement pour moi, après une fouille du bureau d’un bureau qui se révéla infructueuse en indice, je parvins à engloutir un petit stock de bananes.
Il fallait agir vite et nous cachâmes les corps des gardes avant de nous décider à descendre au cinquième sous-sol par les escaliers. En effet, nous ne savions pas si l’équipe du haut avait déjà réussi à neutraliser l’ascenseur et à faire diversion. Il fallait agir vite… Le sourire me vient. Nous avons perdu du temps à fouiller un bureau vide et arrivé devant une porte close nous nous aperçûmes que nous n’avions pas pensé à regarder sur les gardes. Ce qui fut fait et la bonne clé trouvée enfin. Mes camarades en profitèrent pour s’armer de manière plus conséquente, car un mauvais pressentiment nous vint sur ce qui se déroulait derrière cette maudite porte.
Le spectacle que nous trouvâmes me glace encore le sang : une salle emplie de gardes, de tubes, de cuves bouillonnantes et étranges et surtout l’arme que portait un des hommes… Un fusil comme je n’en avais jamais vu surmonté d’un réservoir dans lequel on pouvait voir des petits éclairs s’entrechoquer. Et puis nous avons vu ces scientifiques qui semblaient travailler sur des automates redoutables. Parmi eux, je n’eus que peu de peine à reconnaître Franckeinstein et Cornélius, mais leur visage havre et mal en point montraient à quel point ils avaient dû souffrir sous le joug de leurs geôliers sans pitié.
Après plusieurs minutes interminables, nous décidâmes de lancer une grenade artisanale de Karl au poivre aveuglant et je m’élançai dans la salle en poussant des cris de singe pour détourner l’attention des gardes.
Une lutte acharnée s’engagea et nous parvînmes à exfiltrer le docteur Franckeinstein de cette salle. Douloureux souvenir de ces deux balles qui me traversèrent le corps, mais qui, Dieu me garde, ne touchèrent aucun organe vital.
Nous remontâmes au quatrième sous-sol dans l’espoir de ressortir par le chemin que nous avions emprunté et quelle fut notre surprise de retrouver nos amis du haut. Le plus dur était fait, nous étions presque sains et saufs et Eirik, malgré sa grave blessure respirait encore même s’il était inconscient.
Le plus dur était fait… Quelle ironie quand je repense à ce qui nous attendait dans la serre. Vision apocalyptique : le général Edwin Van Manterfeld et ses sbires nous attendaient dans le vacarme d’une sirène assourdissante. Ce lieu verdoyant et bucolique perdit à mes yeux tout charme.
Une deuxième lutte plus acharnée survint et dans mes souvenirs cotonneux je vis Marie-Laure, splendide dans sa forme drakonique, cracher un feu d’enfer sur le général qui l’esquiva d’une parade majestueuse. La situation devient chaotique et l’arme damnée du garde commenca à lancer des éclairs annonciateurs de l’apocalypse.
Nous eûmes le temps de refermer la porte des égouts avant d’entendre une détonation étourdissante et assourdissante qui me laissa des acouphènes un long temps. Marie Laure qui flottait entre la vie et la mort revint parmi nous grâce à l’onguent magique de mon camarade.
Après un long temps, nos contacts nous menèrent près du canal Saint-Martin et nous pénétrâmes dans un abattoir à l’odeur putride et un boucher immonde nous désigna un passage dissimulé. Là, enfin, entourés de médecins, nous vîmes Jules Vernes, notre ministre, le véritable et non l’usurpateur que l’on pouvait voir dans les journaux. Il paraissait bien mal en point, atteint d’un mal non humain, sûrement issu d’une magie noire démoniaque.
Qui est donc ce faux Jules Vernes, qui est cet être qui semble le suivre partout ? Auraient-ils un lien avec « l’adversaire » capable de déclencher « la chasse sauvage » ? Il nous faudrait faire appel à Obéron en Bavière au château de Falkenstein pour dénouer ce piège diabolique. Mais le temps nous est compté. Notre ministre se réveille de sa léthargie. Il nous reste 5 jours pour sauver le monde. 5 jours contre une apocalypse programmée. Ma gorge se noue et pour la première fois depuis longtemps j’ai véritablement peur…
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeDim 22 Mai 2022 - 10:45

Quel fut notre soulagement de voir les yeux de M. Verne s'entrouvrir après des semaines (peut-être même des mois) d'une profonde insconscience. Certe le cadre n'était digne ni de sa fonction ni de son génie mais tant que l'usurpateur ne serait pas démasqué, le ministre des sciences devrait se contenter d'une sordide pièce aveugle dans une cave humide des abattoirs de La Villette. Le docteur Frankenstein, à qui nous devions cette amélioration de santé, enleva prestement les tubes qui s'enfonçaient dans la bouche et le nez du ministre pour lui assurer une forme de vie végétative.
"Lantière" fur le premier et unique mot qu'il prononça. Sa maladie était antérieure aux événements que nous avions connu et il nétait pas informé de l'horrible mort de son bras droit.
Il ne nous parut pas opportun d'annoncer la terrible nouvelle au convalescent et sans même attendre une réponse de notre part, Jules Verne sombra dans un sommeil réparateur.
Gudrün et moi décidâmes d'aller espioner le Champ de Mars. Karl annonça son intention de sécuriser le repaire. Il partit à la recherche de matériel pour son dessein : explosifs et munitions qu'il pourrait glaner auprès de ses contacts dans les milieux anarchistes. De par sa fougue et sa foi inébranlable dans sa mission poitique, ce jeune homme me rappelle Willem. Et du peu que j'ai pu comprendre, Eirik s'inquiétait de poursuivre son traitement.
Gudrün, sous forme de pigeon, eut plus de chance que moi dans notre entreprise d'espionage. Le Champ de Mars tout comme la Tour Eiffel étaient fermés au public, le lieu ayant été investi par des militaires et du personnel de sécurité. L'envol et l'atterrissage des aéronefs avaient été transférés à une trentaine de kilomètres au nord de Paris dans le petit village de Roissy. Gudrün constata qu'une tribune avait été mise en place devant la tour comme pour une représentation. Des tentes militaires occupaient l'esplanade. Elles étaient le lieu de livraison de nombreuses caisses. La Faë, toujours sous forme animale, se glissa sous l'une de ces tentes : là, dans les caisses entreposées et pour certaines ouvertes, on pouvait trouver des outils, des plaques de fer et tout ce qu'il faut pour monter des automates. Ceci ne faisait que confirmer ce que nous redoutions concernant cette présentation.
Pendant le temps de notre escapade, Marie-Laure tenta d'annoncer les nouvelles à Jules Verne avec tout le tact dont elle est capable. Mais le temps de veille dont le ministre était capable ne lui permit que de lui raconter notre première mission.
Eirik, quant à  lui, nous annonça son projet de se rendre à Roissy : ce nain entretient une obséssion pour les aéronef que j'ai du mal à comprendre.
Dagmar avait mis ses compétences de scientifique au service du projet de Karl.
Marie-Laure se mit en tête de contacter ses relations dans l'espoir de monter une action militaire mais depuis la Révolution de 1789, les milices et régiments privés ne sont plus en état de grâce.
La nuit même Gudrün nous fait part de son souhait de retourner sur le Champ de Mars pour espioner sous forme de chat. Là,  elle y voit le faux Jules Verne arriver et donner des consignes d'assemblage.
Pendant ce temps, Marie-Laure évoquait avec le ministre ses soupçons quant à l'identité de l'usurpateur : se pourrait-il qu'il s'agisse de Cagliostro ?
Il nous fallait maintenant montrer un plan et trouver des alliés. Pendant que Marie-Laure, Gudrüne et Dagmar cherchait à contacter l'Emprereur en personne, Karl et moi allions à la rencontre des insurrectionnaires. Prenant mon courage à deux mains, je décidais de révéler mon secret à Karl.
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeLun 30 Mai 2022 - 15:54

Jour […], j-1 avant la cérémonie.

Pendant que j’étais en train de régler les derniers détails de mon plan (assez peu parfait) à Roissy, Marie-Laure, Gudrün, et Dag se rendirent au palais Bourbon pour y rencontrer le ministre de la Justice : M. Jacques-Pierre Abbatucci, à se moment, présent face à l’assemblée, pour répondre au feu des questions du peuple. Enfin bon, de se que j’en ai compris à mon retour, on aurait plus facilement entendu le faux Verne dans ses paroles que lui. Il croyait à peine ce qu’il disait ! Et il devait faire face à un assemblé terriblement tendu et interrogateur ? ça devait être une bonne farce ! Et le fait qu’il tenais un discours aux antipodes de ce qu’il pensait être vrai (ou juste) s’est confirmé lors de de l’entrevue qu’il a eu avec l’équipe. Une fois l’avoir convaincu de leur bonne foi, M.Abbatucci (non sans un temps étonnamment grand de réflexion) proposa son aide, sous diverses forme : dans un premier temps, il proposa « l’asile » au vrai Jule Verne, au moins, jusqu’à l’intervention, puis il proposa à l’équipe de faire partie de l’escorte du ministre, avec Verne, pour rejoindre les lieux de la cérémonie incognito.

Dans le même temps, sentant que le côté communiste allait faire éclater une révolte, Karl et Rani ont pris rendez-vous pour tenter de calmer les choses, ou du moins, faire en sorte que nous ne les avons pas dans les pattes pendant l’intervention. Accompagné du Furet, ils se rendirent sur place, où les attendait les grandes têtes de la révolte approchante, à savoir : Mme.Sauvageau, pour représenter les communistes ; M.Rousseau, pour la bande du contrat social ; et 2 autre femme et hommes que nous n’avions pas encore rencontré : Louise Michelle, représentant les Anarchiste ; « Casque d’or », représente des femmes de joie ; Charles de l’Ecluse, pour les Socialiste ; et Manda, pour les apache de Sébastopol.
Alors que notre but était clair, le leur était encore plus : voir l’empire tomber. Non pas que cela n’aurait pas dérangé certains, mais, sachant qu’une révolte aurait, sans aucun doute et a cause de l’arsenal du ministère des sciences, fini en bain de sang, il fallait tempérer les esprits.
Et se fut pas bien difficile de convaincre Sauvageau et Rousseau, que nous connaissions déjà, ni casque d’or d’ailleurs. Ils ont accepté sans broncher. Louise et Charles étaient un peu moins enthousiaste, mais, après avoir obtenu le soutien dans un soulèvement de Karl ET de Rani, si jamais le vrai Verne ne tenait pas ses engagements, ils ont fini par accepter (je reste encore sur le cul du choix de Rani. Quand même, ce n’est pas rien ce qu’elle a décidé de faire !). Enfin, il ne restait plus qu’une personne, et plutôt une forte-tête à dire vrai. Même se pacte ne l’a pas franchement convaincu. Il a quand même décider de nous accorder un délai de 48H pour agir. Après quoi, rien ne le retiendrait. Je peux donc en conclure que cette mission-là était, plus ou moins, accomplie. Il ne nous restait plus qu’a nous préparer pour le jour J.
D’ailleurs, dans le cas où l’opération tourne au vinaigre, Rani et Karl aurons demandé à Rousseau de prévoir une issue, à base de fumigène et de Furet sur place, pour une exfiltration.

Ainsi, le plan était fait : demain, lors de la cérémonie, à 18h, l’équipe accompagnera le vrai Verne, et le ministre de la Justice aux tribunes, puis, au moment opportun, ils interviendraient pour confondre l’imposteur, et retourner l’assemblée contre lui. Assemblée, et des gradins, accueillant d’automaticiens, thaumaturges, et autres haut dignitaires. Je ne sais pas encore quand cet « arrêt » aura lieu, sachant le programme, qui est : un discours du faux Verne ; suivi d’une présentation d’inventions ; et enfin, d’une « surprise ». Mais mes avis que, si cela ne se déroule ni bien, ni assez tôt, cette « surprise » aura vite fait de faire un carnage...
Pour en savoir plus, Gudrün s'est chargé de retourner au Champs de Mars pour voir l'avancée des préparations. Et elle y découvrit une étrange armure. Elle a pu, d'ailleurs, avoir le droit à une démonstration de sa puissance, que l'on pourrait seulement qualifier de "phénoménale". De plus, pour ne pas donner meilleure impression de lui même, celui-ci à clamé, haut et fort, son vœux de "voir Paris réduite en cendre".
Mais il ne me restait plus qu'une chose à faire: attendre que se soit l'heure de décoller vers les Champs de Mars, et préparer mon "équipage" à se qu'ils allaient devoir affronter, de gré, ou de force (même si je préfère, de loin, la 1ère option).
Autant dire que, au vu de la situation, je me prépare pour mes funérailles. Pour moi, dans le meilleur des cas, on parvient à fuir, sans réussir totalement la mission, dans le pire, on est tous mort. Non pas que j'ai des doutes vis-à-vis de nos capacités, loin de là, mais la situation, tout comme le plan, me semble désespérée, et hélas, je n'est pas de meilleur solution... Alors, je fais un effort sur ma tenue, ainsi que sur ma propreté générale, histoire de se faire beau pour la faucheuse en cas de besoin. Puis je regarde une dernière fois ma boussole, symbole de mon seul lien avec mes vrai parents, avant d'essayer de trouver le sommeil, en me demandant se qu'ils auraient fait à ma place.

Jour [...], Jour de la cérémonie

Le jour, plus ou moins, attendu était enfin arrivé. A ce moment, il ne restait plus qu'une poignée d'heures à attendre avant de commencer les opérations. [...]
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GildasLau
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 8 Juin 2022 - 3:30

   L’affrontement tant attendu débuta. Et le chaos s’en suivi. Heureusement grâce à l’intervention conjointe de Rany et moi, nous pûmes déstabiliser nos adversaires et galvaniser les combattants présents dans la foule. Alors que je faisais face à l’imposteur dans son exosquelette, le Général Prussiens se dirigeait d’un pas ferme vers ses deux ex-compatriotes, Karl et Dagmar, et l’adversaire se repliât derrière les automates après avoir fini de distribuer ses consignes aux thaumaturges. Ceux-ci avaient commencé à incanté un portail. Pendant que mon combat de contre l’imposteur continuais, Karl, qui avait laissé Dagmar seul face au Général, et Güdrüne essayèrent d’empêcher les thaumaturges de continuer leur funeste mission. C’est finalement grâce un l’un des largages d’Eirik que ceux-ci furent interrompus. Malheureusement un groupe de salamandres avais eu le temps de passer le portail et commencèrent à attaquer la foule. Güdrüne fut blesser dans l’opération, mais parvint quand même à se transformer en poulpe pour aveuglé l’imposteur. Et un nuage de poussières de farine avait envahi le champ de bataille suite à un autre largage d’Eirik. C’est à ce moment que, après avoir simulé sa défaite, Dagmar pu prendre le Général a revers et lui tirer une balle dans la tête. Il mourut mais cette action eu aussi pour effet d’enflammer la farine ce qui provoqua une explosion qui blessa tout le monde et provoqua la folie des automates qui, après s’être relevé, commencèrent à tirer dans tous les sens. Et alors que le chaos semblait être en notre défaveur, nous vîmes arriver, au gallot, la garde impérial, avec l’Empereur en personne à sa tête, et la flotte aérienne du second pacte, dirigé par le vaisseau-mère d’Oberon en personne. De celui-ci nous vîmes débarquer Arsène Lupin et Joséphine Cagliostro. A la vue de ce retournement de situation l’adversaire prit la fuite, ce qui provoqua la fin du contrôle des salamandres qui se dispersèrent dans Paris. L’imposteur entra alors dans une folie meurtrière dirigé vers Joséphine Cagliostro. Je m’interposais pour protéger mes amis et Eirik, qui était descendu pour nous aider, tua l’imposteur.
   Après ca le calme pu enfin revenir sur le Champs de Mars. Rany nous donna les premiers soins. Nous pûmes confirmer que celui qui se cachait derrière le masque de l’imposteur était bien le père de Mademoiselle Cagliostro. Nous fîmes aussi le bilan de nos morts et blessé. Malheureusement nos compagnons Alceste, Marie-Noël et Maraicheau n’avais pas survécu à la bataille et nombre de civils moururent ou furent gravement blessé. Nous eûmes l’immense honneur de pouvoir faire un rapport de la situation directement à sa majesté l’Empereur et au seigneur Oberon. A la suite de celui-ci l’empereur pris la parole pour s’adresser au peuple de Paris. Il nous remercia et annonça la nomination de Jule Verne en tant que premier ministre avant de partir en lui laissant la parole. Celui-ci annonça trois grandes reformes à venir : La journée de travail de 8h ; La suppression du travail infantile pour les moins de 10 ans ; L’ouverture de l’éducation pour toutes et tous. Il annonça aussi une grande réunion en présence des représentants du peuple pour discuter d’un nouveau contrat social. Et enfin il déclara que toute les personnes injustement emprisonné ainsi que plusieurs camarade anarchiste et syndicaliste, allais être libéré et que les personnes injustement libérées seraient de nouveau emprisonnées. En privé, on nous annonça la tenue prochaine d’un grand bal au palais impériaux pour nous remettre la Grande Croix de la Légion d’ Honneur, et qu’en remerciement pour nos actions l’Empire Français nous accordait une faveur. Il fut aussi accordé la nationalité Française à Karl et Dagmar. C’est alors que nous fumes inviter par Oberon dans son vaisseau. Celui-ci nous remercia et nous offrit des soins de luxe. Dans l’attente du bal beaucoup de chose furent faite pour que tout revienne à la normale le plus vite possible. Il fut annoncé que l’ordre du prisme étincelant avait été dissous suite à leur implication plus qu’évidente dans la tentative de soulèvement. Les seules ombres au tableau sont le fais que la Marquise Deleveau avait réussi à s’enfuir en compagnie de deux seigneur dragon, que je soupçonne être mes frères, et que la femme de Karl, porté disparue, était introuvable.
   C’est avec ces préoccupations que nous allèrent au bal impérial. Nous y fûmes décorer de la Grande Croix de la Légion d’ Honneur et nous reçûmes des cadeaux. L’empereur m’offrit le titre de Baronne, ce qui me donnait accès à des Terres, une propriété Parisienne et des gens. Il fût offert à Rany une robe de la garde-robe personnelle de l’impératrice. Karl reçut une automotive. Dagmar reçut un jetpack conçut par Podelius et Atrytone. Güdrüne fût promu au rang de Chef de la sécurité du premier Ministre. Et Eirik reçu un petit zeppelin. La soirée pu alors commencer. Tout se passait bien jusqu’à ce que Karl reçoive un mystérieux message qui le laissa sans voix …
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 15 Juin 2022 - 19:18

*Compte rendue d'interrogatoire de Karl Muller, ville de xxxxxxx, année 18xx*

inspecteur SH- Karl, pouvons nous revenir sur cette histoire au Regent's Park ? Sur ce qui l'a provoqué particulièrement.

KM - 

  Je vois pas le lien avec cette affaire, mais si vous y tenez. Après avoir reçue nos décorations et nos cadeaux, chacun profitais de la fête comme il voulait, moi j'étais seul au bar. J'étais préoccupé de savoir où était Charlotte, jusqu'à ce que je reçoive un message qui disait, en gros : "RDV au zoo de regent's park mardi prochain à 2h00 du matin. Ramenez le moule pour faire les masques et on libère votre femme".

  Autant vous dire que je suis un peu pommé là, je rentre chez moi et je commence à réfléchir à un plan, sans rien dire aux autres bien sûr. J'ai que cinq jour, alors pas de temps à perdre : Le lendemain, j'achète une malle suffisamment grande pour contenir l'objet et qui a un double fond. Ma première idée était de voler l'objet avec la malle, mais on m'a pas laisser sans surveillance avec, j'avais Güdrüne sur le dos en permanence. Pas grave, plan B, je fais des plans les plus précis possibles et je fais une copie de mon côté. 

  Je pensais y aller seul, mais on reçoit une mission qui m'arrange : aller à Londre et découvrir les responsables de l'opération. Durant le trajet, je décide de partager mes plans avec le reste de l'équipe, après tout, plus rien d'illégale là dedans, surtout que je compte piéger la copie avec des explosifs. Autre révélation, c'est bien la famille de Madaaame la baronne qui a escorté l'autre Noble là... Comment c'était ? Ha oui, la Marquise Du veau*, c'est ça ! Bref, eux aussi sont en Angleterre et tout semble nous mener vers la ville de la vapeur, et ça sentait enfin la fin de cette histoire.

  Une fois arrivé, très peu de temps avant la rencontre, on se prépare, et on fait un plan en vitesse : J'y vais seul en apparence pendant que les autres se tiennent prêt à intervenir en cas de problèmes. Et des problèmes, vous vous en doutez, il y en a eu.
  Après une bonne demi-heure de retard, les guignoles débarques à sept, huit en comptant un tireur planqué. Il y a la marquise, deux dragon et cinq soldats louches. Et Charlotte. Je montre la copie, mais un dragon se rend compte de la supercherie et ils veulent annuler la transaction tout de suite. Je préviens les renforts et je gagne un max de temps en leur promettant le vrai moule. Vous vous doutez de la suite, la baston commence, la marquise veut s'enfuir avec l'otage, je les poursuit. pendant ce temps ça tire de partout, Marie-laure retrouve son frère (qui essaie de la tuer), Güdrüne se transforme en Jaguar pour effrayer les soldats, Dagmar fait montre de sa puissance de feu...


inspecteur - Je crois qu'on a bien compris, merci. On reprendra l'interrogatoire plus tard.







*note de l'inspecteur : Il s'agit probablement de la marquise Deleveau
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 22 Juin 2022 - 19:30

Résumé - Dagmar Hankel

La fusillade à Regent's Park se poursuit, mais le bruit a provoqué des réactions, et des sirènes retentissent maintenant tout autour de nous. Nos ennemis, peu désireux de se faire remarquer, décident de prendre la fuite, et chacun d'entre nous tente de faire de même. Ranni s'empare du piège de Karl et le fait exploser à distance pour créer une diversion. Eirik protège Charlotte, mais Marie-Laure et Karl se font interpeller par les policemen. Je ne sais quel mensonge ils ont monté, mais il semble que cela ait fonctionné. Après tout, il n'y a pas de cadavre. Ils prennent simplement leur adresse. Si je recroise cette Delaveau, je lui montrerai ce que je pense des preneurs d'otage.

De mon côté, en quittant le parc par le sud, je rencontre un homme. Un anglais, habillé de façon plutôt élégante, qui me fait remarquer que nous n'avons pas été très discrets. N'ayant aucune idée de ce qu'il sait, ni de ce qu'il veut, je reste prudent et prends rapidement congé pour me concerter avec mes camarades. Ranni se décide à m'accompagner au rendez-vous, ainsi qu'Eirik. Ce mystérieux personnage nous conduit au 221B, Baker's Street. Un appartement très confortable. Il nous propose un thé et se présente comme Sherlock Holmes, un détective privé. Il nous fait remarquer nos insignes du Second Pacte, et nous demande ce que nous faisons à Londres. Après quelques regards interrogateurs et complices, Ranni et moi décidons de lui accorder un peu de confiance et de répondre à ses questions, moyennant informations.

M. Holmes nous fait part d'une enquête, qu'il a ouverte depuis quelques mois, et qui aurait un lien avec notre affaire. Selon lui, une organisation secrète serait à l'origine de trafics, d'assassinats et aurait une certaine influence sur le gouvernement anglais. Les ravisseurs du parc auraient également pu travailler avec eux. Concernant leur leader, ou au moins quelqu'un de haut placé chez eux, Sherlock suspecte James Moriarty, un brillant professeur de mathématiques.

Pour entrer en contact avec lui, Holmes nous apprend que le lendemain a lieu une course automotive annuelle à Londres, le long de la côte : London-Brighton-London. Moriarty y participera, ainsi que le prince Albert, le chef du Second Pacte en Angleterre. L'événement est sponsorisé par le British Steam Consortium, ainsi que Lord Ashton Montague, qui a lourdement insisté pour la nature du prix : une place de choix dans une grande parade, à laquelle participeront notamment la Reine et le Prince en personne, et qui aura lieu dans tout Londres.

Il nous faut participer à cette course. Heureusement les inscriptions sont toujours ouvertes. Karl, Eirik et moi optimisons l'Intrépide pour la course. Eirik pilote, Karl l'assiste, Gudrun s'infiltre dans le véhicule de notre suspect, et nous autres surveillerons depuis le Cygne, en tant que Silent Crow. Ranni, avant le départ, va rencontrer le gratin après avoir retrouvé M.Holmes en cette grande occasion, notamment un certain Phileas Fogg, qui aurait pris Jules Verne en grippe pour une histoire de plagiat, ainsi que le couple Browning.

Bref, la course commence, et deux véhicules sortent rapidement du lot : celui de Moriarty, et l'Intrépide. Eirik met une sérieuse distance entre lui et tous les autres concurrents. Passé le virage à 180° à mi-course, il se passe quelque chose d'inquiétant. Moriarty croise l'Intrépide, et lui assène un terrible coup à l'aide d'une lame dissimulée dans son véhicule. Eirik s'arrête et sort pour réparer en catastrophe. Je me rue à leur rescousse pour accélérer les choses. Cette fourberie ne restera pas impunie. Finalement, Nous parvenons à hisser notre bolide à la tête du classement, non sans mal. Moriarty est furieux, et gifle son copilote. Le prince quant à lui, a pris la dernière place du podium après un énorme carambolage qui a considérablement ralenti, sinon stoppé le peloton. La suite promet d'être intéressante...
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MessageSujet: Re: Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte   Château Falkenstein - Les archives du Second Pacte Icon_minitimeMer 7 Sep 2022 - 19:19

(Je poste l'épilogue de mon perso maintenant car j'aimerais vraiment qu'il soit publier ^^. Quand le dernier résumé sortira je le déplacerai si possible, sinon je supprimerai ce post et le remettrai plus tard ^^ enjoy à ceux qui liront ^^)

Epilogue de Marie-Laure :
 Après toutes ses aventures palpitantes et éprouvantes la première chose que j’ai fait c’est d’organiser et d’effectuer mon déménagement dans ma Baronnie. Après quelques négociations, suite à mon souhait de ne pas retirer son titre d’héritier du Baron au premiers fils de mon beau-père, il me fut attribué un petit territoire au sud de Paris. Ca facilitera aussi ma venue lorsque je serais appelé par le second pacte. Bien sûr, qui dit nouvelle Baronnie dit nouveau nom. Je vous demanderais donc d’humblement accueillir la nouvelle Baronne de l’empire français : Marie-Laure DE ST-AUVIN DE GRESSOT de la Baronnie DE GRESSOT.
 J’ai déménagé tout mes biens de ma demeure près de Lyon vers mon nouveau chez moi.  J’y ai accueilli ma petite sœur et mes enfants qui pourrons maintenant rester chez moi grâce au personnel de ma nouvelle demeure. Après tous ca, je me suis attelé à une tâche importante dans la vie d’une noble de l’empire : Chercher un mari ! J’ai décidé d’utiliser la faveur que l’empereur nous avais accordé pour demander du soutien dans la recherche d’un bon partie qui serais prêt a accepter une jeune baronne avec 4 enfant. Malgré ce léger « handicap », j’espère que mon statut « d’héroïne », décoré de Vienne, de France et d’Angleterre, me sera favorable. C’est aussi pour cela que le soutien de sa majesté dans cette démarche sera d’une grande aide.
 Je me suis aussi mis sérieusement à la recherche de mon dernier frère, que nous avions croisés en allant a Vienne, pour éviter tous possibles problèmes futurs et pour essayer de, si possible, le remettre sur le droit chemin. J’ai aussi entamé la recherche de mes autres sœurs, en demandant assistance au second pacte, pour essayer de réunir toute ma famille et faire profité de tous ce que j’ai a ces sœurs, qui n’ont peut être pas eu la même chance que moi quand mon père les a abandonné.
 Enfin avant tous ca, suite aux événements de Londre, j’ai décidé de révélé mon grand secret a mes collègues : En réalité c’est moi qui aie assassiné mon père. C’était une fois où mes frères n’étaient pas présents dans sa demeure avec lui. Peut être est ce parce que j’étais une femme, et qu’il me sous estimais, qu’il ne s’est pas méfié de ma réaction quand il a commencé à me montrer comment il traitait ma petite sœur qu’il avait gardé a ces côtés. Il en avait fait une esclave et avait appris à ces fils à la traiter comme tel. Alors que c’était la chair de sa chair ! Et pour je n’ai sais quel raison, alors que la colère montait en moi, il a commencé à m’expliquer comment il avait procéder pour lui arracher définitivement les ailes pour qu’elle n’ait plus aucun moyen de s’enfuir. Mon sang n’a alors fait qu’un tour et j’ai l’ai abattu, froidement, et me suis déchainé sur son cadavre. Quand j’ai repris mes esprits, j’avais en face de moi un cadavre meurtrie. Dans la panique j’ai essayé tant bien que mal à nettoyer la scène du crime et effacé les possible trace de ma présence. J’ai aussi pris ma petite sœur avec moi de peur quel subisse les représailles de mes frères. Je ne lui ai pas révélé la vérité. Je lui ai juste fais croire que j’avais réussi à convaincre notre père de l’emmener avec moi.
 Et voilà pour moi.
 En vous remerciant tous pour l’excellente campagne que nous avons joué ensemble et en espérant que les aventures de Marie-Laure et de tous les autres pourrons continuer à avancer dans le cœur et l’imagination des gens qui lirons nos aventures ^^
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