Et la foudre frappa...

Personnellement je suis prêt à accepter la mort  (en même temps vu la nature du personnage, je suis prêt depuis sa création  )

j'espère qu'en cas de morts groupés, tout le monde a prévu un concept pour le prochain perso...

Je viens justement de finir de mettre sur papier les idées que j'avais en tête pour un perso
(il sera gentil !)

Autant que ton phénix pacifiste ? 

j'ai deux perso, potentiellement complètement pétés. tu me dira si ça passe ou pas.

Quelqu'un a oublié de poster le résumé 

Désolé pour le retard, voilà le résumé.

"Le Gros Bouton Rouge"

Mois des orages, Jour 13


J'arrive à peine à tenir ma plume pour écrire ces mots. J'ai des bleus partout.


Éthen est parti. Il a sans doute préféré s'enfuir de ce merdier. Je le comprend, mais je ne peux le suivre. Ses pouvoirs lui permettront sans doute d'échapper à Red ; mais nous, nous sommes toujours coincés ici. Arsène nous a indiqué où trouver Red pour recevoir nos prochaines instructions et nous a laissés sur place, sans se priver de se montrer condescendant à notre égard.


Aujourd'hui, nous sommes enfin arrivés à Blaumwitch, la ville commerciale de l'Est. Le voyage a été tranquille, et j'aurais aimé que notre arrivée le soit également. Nous avions commencé à nous répartir les tâches pour nous installer quand nous nous sommes rendus compte que nous n'avions plus un sou pour payer nos chambres à l'auberge. Nous avons tenté de mettre à profit une fois de plus l'apparence impressionnante de l'homme bête pour récupérer quelques piécettes.
Et ça a mal tourné.


J'ai réussi à capter l'attention de la foule, mais je crois que quelque chose dans mon discours leur a déplu. On m'a jeté des pierres et on m'a tabassé. Quand j'ai repris connaissance, j'étais entouré du groupe et nous étions dans la forêt. Apparemment, ils ont réussi à contacter Red, qui nous a rejoint peu après.


Il s'est montré inhabituellement bruyant, marchant sur des branches, des feuilles mortes ; mais cela n'était qu'un manège pour que son chien ne perde pas sa trace tout en restant caché à notre vue.


Une fois sa "déception" exprimée, Red nous a chargé de l'accompagner jusqu'au lieu des négociations entre les différents acteurs du conflit frontalier. J'ignore comment il compte se servir de nos "talents", mais je guette l'occasion de m'en aller avant qu'il ne nous envoie tous à la mort.




Mois de orages, Jour 26


Une fois de plus, le voyage s'est déroulé sans encombre. Une fois de plus, notre arrivée a été remarquée.


Nous sommes arrivés dans la matinée, et nous avons pu observer le lieu de réunion des puissants dans toute sa grandeur. C'est une véritable forteresse, construite à même le flanc d'une montagne. De hauts murs s'élèvent autour de différents bâtiments, dont l'allure luxueuse ne laisse planer aucun doute sur le genre de personnes qu'ils accueillent.


Une fois rentrés dans l'enceinte, nous avons du laisser nos chevaux à l'entrée. Tandis que nous les confiions à des palefreniers, j'ai vu d'immenses sangliers installés dans certains boxes de l'écurie. Je n'ai aucune idée quant à l'identité des propriétaires de telles montures.


Quelques instants plus tard, nous sommes tombés nez à nez avec une délégation elfe, venue à notre rencontre pour nous saluer. La situation à presque instantanément tourné à la déclaration de guerre quand l'enfant, faute de meilleur terme, a lancé une insulte en guise de salutation. J'ai dû le gifler immédiatement et me répendre en excuses et en promesses de châtiment auprès du seigneur elfe qui avait l'air de diriger la délégation. Nous avons tant bien que mal réussi à désamorcer le conflit, et Red à pris le relais, tendu à en être livide. Nous avons vite choisi de disperser notre groupe, et pour éviter d'avantage de problèmes nous nous sommes mis d'accord pour visiter tranquillement les environs.


Gwendolyn a emmené l'enfant avec elle, et je suis parti avec Lobris. Celui-ci voulait profiter de la position haute de la forteresse pour observer les alentours, et j'ai choisi d'orienter notre visite vers les remparts en espérant que nous ne croiserions personne, si ce n'est quelques gardes.


Évidemment, c'était trop demander. Nous avons failli déclencher deux autres conflits avant même d'être arrivés aux remparts. La première fois, nous sommes tombés sur un groupe de nains en pleine dispute : la porte de leur chambre était ouverte et divers objets étaient jetés au travers de celle-ci. Lobris, plein de bonne volonté, a décidé de les interrompre en les saluant. Bafouillant une excuse à l'attention des nains, je l'ai entraîné avec moi avant que ceux-ci ne décident de rediriger leur agressivité vers nous. La deuxième fois, c'est moi qui ai failli ouvrir la mauvaise porte : j'avais posé ma main sur la poignée quand Lobris, béni soit son flair, m'a indiqué que les bains des dames se situaient derrière le panneau de bois.


Après cela, nous avons réussi à atteindre les remparts sans autres mésaventures. À la vue des plaines environnantes, nous avons pu profiter d'un bref repos dans cette journée chaotique.


Un bref instant de calme. Et puis le ciel est tombé.


Je l'ai aperçue.


Elle.


Elle se trouvait également sur les remparts, et se dirigeait d'un pas tranquille vers nous. Je n'avais jamais vu une dame comme celle-ci. Je ne sais trouver mes mots pour la décrire.


Elles s'est approchée de nous, majestueuse dans ses atours finement cousus. Contrairement à de nombreuses dames de la haute-société, elle n'était pas maquillée. Elle n'en avait pas besoin, selon moi.


Je me rappelle que nous avons engagé la conversation. Je ne me rappelle plus de quoi nous avons parlé. Elle me souriait. Le reste était sans importance à mes yeux.


Lobris et moi marchions le long des remparts, parlant avec cette apparition. Soudain, je fus ramené à la réalité par un scintillement métallique. Lobris l'avait repéré lui aussi, et nous avons vu une dague qui volait droit vers nous depuis le bas des remparts. Faisant appel à mes pouvoirs, j'ai tenté de l'arrêter en plein vol. Mais j'étais bien trop ébranlé par ma rencontre avec la belle inconnue pour me concentrer suffisamment. Impuissant, je regardais la dague continuer son chemin vers nous quand Lobris arrêta celle-ci de sa main nue.


Une fois ce danger écarté, nous avons identifié notre agresseur au premier coup d'œil : c'était Gwendolyn. Celle-ci avait l'air penaud, et tandis qu'elle s'enfuyait en courant, j'ai réussi à convaincre notre compagne du bien fondé des intentions de notre amie elfe.


Soudain, une voix a prononcé mon nom. C'était celle de Samy, et celui-ci était en train d'escalader les remparts pour nous rejoindre. Il m'a demandé de l'aider à monter.
Je ne voulais et ne pouvais pas le faire. Samy tomba, mais avant qu'il ne touche le sol, une sorte de coussin d'air s'est formé sous lui, faisant se courber l'herbe et voler les feuilles mortes.


Une autre elfe était entrée en scène, et de toute évidence elle était à l'origine du phénomène, sa main étant tournée vers le lieu de l'impact. Je l'ai reconnue ; elle faisait partie de la délégation qui nous a accueilli.


À peine Samy a-t-il touché le sol qu'il cherchait un nouveau chemin pour nous rejoindre. J'ai pris soin d'orienter notre marche sur les remparts dans la direction opposée à celle par laquelle ce cauchemar de 1m30 de haut allait arriver.


Et les ennuis continuèrent. Arrivés au bout de la muraille, nous entendîmes Gwendolyn crier. Lobris partit au quart de tour pendant que je prenait congé auprès de la jeune femme rencontrée plus tôt.


Je suis arrivé en retard sur une scène qui m'a fait pâlir plus que je ne m'en serais cru capable. Gwendolyn était au sol, un nain richement vêtu appuyant le tranchant d'une hache contre sa gorge. Lobris prenait son air le plus menaçant, n'osant bouger par peur de brusquer la situation.


C'est cette diplomate elfe qui nous a sauvé. Une fois de plus. Elle a su trouver les mots justes pour apaiser ce nabot furibond et le pousser à nous laisser repartir sans alerter la garde.


En revanche, Red, lui, nous est tombé dessus. Il s'est déplacé dans l'urgence pour nous réprimander suite au chaos que nous avions causé ; et aussi pour nous demander ce que nous faisions en compagnie de la princesse de notre royaume, Dame Esméralda, qu'on avait aperçue avec nous sur les remparts.
J'étais trop estomaqué pour penser à lui répondre autre chose que des "Oui Mr Redington", après lui avoir assuré qu'il ne s'était rien passé de fâcheux.


Ayant été informé du chaos que nous avions répandu sur notre passage, il nous a renvoyés à nos quartiers hors de la forteresse. Nous avions ordre de ne plus en bouger jusqu'à ses prochaines instructions. J'étais d'accord avec lui sur au moins un point : nous n'avions pas besoin d'aggraver les relations diplomatiques déjà tendues entre les partis en présence.


Notre lieu de résidence, une maison bien plus sobre que les constructions extravagantes de la forteresse, était située à plusieurs minutes de cheval de celle-ci.
J'ai pris une chambre au rez-de-chaussée, la plus proche de la porte. Je veux pouvoir réagir rapidement en cas d'imprévu.




Mois des orages, Jour 27


Je


Cette nuit




Mois des orages, Jour 29


ça faisait deux jours que tous le monde se tenait tranquille, acceptant plus ou moins bien les ordres de Red. Mais aujourd'hui, Lobris a eu la bougeotte. Samy l'a suivi, et je n'ai pas réussi à les empêcher de prendre la direction du château. Selon ses dires, l'homme-bête s'était mis en tête d'aller "voir la princesse".


J'ai tenté de lui bloquer la route, mais il était trop fort pour moi. J'ai également tenté de l'arrêter en montant sur mon cheval, mais le bourrin s'est cabré. Quand j'ai enfin réussi à me remettre en selle, Lobris avait une avance considérable sur moi. Je savais que je ne pourrais le stopper, mais je pouvais toujours garder un œil sur lui. J'ai mis ma monture au galop, laissant Gwendolyn seule sur place, et je suis arrivé à la forteresse juste à temps pour voir Lobris et Samy entrer dans l'édifice. Je les ai rattrapé, et à peine notre visite improvisée du château commencée, la servante de Redington nous a barré la route.


Elle savait. Je l'ai vu à sa manière de me regarder. Ce chien d'Arsène lui en aura parlé à coup sûr. J'ose espérer le trouver un jour dans le camp d'en face.


Avec une innocence feinte, elle nous a demandé ce que nous cherchions. Lobris s'est empressé de lui faire part de sa requête ; et j'ignore totalement pourquoi, la servante de Redington nous a mené directement aux appartements d' Esméralda.


Soit Esméralda possède une autorité supérieure à celle de Redington et elle a demandé notre présence, soit la servante agît pour quelqu'un qui possède une telle autorité sur elle. Ma méfiance grandit à chaque instant. Quelque chose se passe, et Redington n'est pas courant. Ce fait est inquiétant en soi.


S'en est suivi une entrevue gênante avec ma Dame. Arsène ne la lâche pas d'un semelle, et de toute évidence, il se fout de moi. La servante fait de même, et mes deux compagnons posent des questions insipides à Esméralda tandis que je me sens tiraillé entre l'étiquette, les ordres de Red, et les élans de mon cœur.


Red nous a d'ailleurs trouvé et nous a renvoyé à nos quartiers, ce qui me conforte dans l'idée que sa suivante à agi sans lui en référer.


Une fois rentrés dans notre demeure, je me suis posé en armure sur une chaise devant la porte pour que plus personne ne sorte. C'est alors que j'ai entendu Gwendolyn, dehors.


Elle était descendue de son arbre. Et sa voix avait repris les intonations utilisées par le démon.
Blue était revenue. Elle nous appelait de sa voix enjouée, toquant à la porte. Tremblant, j'ai posé la main sur la poignée de mon arme, mais je n'ai pas eu le temps de dégainer. La tête de Gwendolyn venait de traverser le panneau de bois, et sur son visage s'étalait un sourire plus grand que ce que ses muscles auraient dû permettre, juste au dessous de ses infernals yeux jaunes.


J'ai paniqué et j'ai tenté de la frapper de ma main gantelée. Mais ma peur et ma surprise m'empêchant de me concentrer, j'ai cogné le mur. Le poignet transi par la douleur, je me suis écarté alors que la porte s'ouvrait avec fracas. Par je ne sais quel miracle, l'attention de la créature a été retenue par mes compagnons qui, inconscients du danger, ont entamé la conversation avec elle. J'ai immédiatement profité de l'ouverture ; d'un geste vif, j'ai plaqué ma main valide sur le dos de l'elfe et j'ai déchargé une partie de mon énergie dans son corps. L'effet a été immédiat et le démon fut repoussé.


Gwendolyn a pu reprendre le contrôle, et pendant qu'elle pansait ma main, je regardais ses yeux bleus en me demandant si je serai un jour contraint à la tuer pour nous débarrasser de Blue.

Et le scénario se dévoila...

[Extrait du journal du Scribe Royal]

Mois des orages, jour 19, 11 heures, salle du Trône.

Mois des orages, jour 20, 8 heures

Mois des orages, jour 29, 22 heures

Mois des orages, jour 30, 10 heures, salle de l’assemblée

Mois des orages, jour 30, 13 heures

Je suppose que je vais devoir compléter avec le point de vu du Chat  manque quelques informations comme ça...

Je confirme: quand je suis plus là, c'est la merde XD

Attend, il n'a pas mis la moitié de ce qui s'est passé XD

Voilà, deux résumés pour le prix d'un !

tu t'es vraiment appelé "LeCoon" ? Cartman, voyons... et sinon, la princesse n'est ... quoi ?

Ben oui, un chat de race Maine Coon ? Quel est le rapport avec Cartman ?
Et pour la princesse ben... ils sont tous morts on le saura pas

Et un chat à l'eau, un !!!!  

Mais comment vous vous démerdez sérieusement....

Attend de voir le final qui se dessine à l'horizon... 

voila un début de réponse à ta question Pandarcher:


Jour : ??? perdu dans les limbes des antidépresseurs
Cher journal, suite à la découverte à la découverte du pseudo corps de Reddington nous sommes parti à la recherche d’Arsène. En sortant des appartements du roi nous tombons sur des gardes qui ne comprennent pas trop ce que je leur dis. Alors c’est l’autre elfe qui explique aux gardes que nous sommes à la poursuite d’Arsène qui a assassiné le roi. Grâce à lobris nous suivons la piste de la fuite d’Arsène qui mène tout droit dans les toilettes des hommes. Où il a failli perdre son odorat tout comme moi. Mais on trouve un passage secret au plafond des toilettes. Je monte sur le dos de lobris pour ouvrir ce passage et m’aperçois que c’est un couloir. On y monte et on avance dans le noir total plein Est. Lobris étant devant car il suit la piste , il déclenche un piège et se prend quelque chose dans le torse. Je me met alors devant afin d’essayer d’éviter les autres pièges. Arrivé au bout du couloir on arrive au bord de la montagne avec un dénivelé de 100m. Je m’aperçois de la bombe qui se trouve au dessus, tout comme Lobris. Je fais demi-tour en cri aux autres de reculer. Mais le chat a sauté. Puis la bombe a explosé. Sauf qu’il y a eu comme un bouclier autour de nous et pile à ce moment l’elfe qui nous empêchait de nous enfuir est tombé dans les vapes.en plus juste avant Lobris étais tombé suite à ces blessures. Une fois que les pierres ont fini de tombé on retourne dans les toilettes des homme ou un comité nous attends. Nous sommes a moitié sourd et aveugle.
Donc nous essayons d’expliquer aux gardes ce qu’il s’est passé mais on dirait presque un dialogue de sourd, les gardes ont du mal à nous croire. Évidemment c’est à ce moment la que le mage arrive en traînant un nain, qui explique qu’il s’est fait volé des explosifs sûrement par Arsène. Les gardes emmènent le nain et Marcus demande à ce que des guérisseurs de l’académie des mages viennent pour nous soigner. Autant dire que je n’ai pas envie qu’ils m’examinent, alors je pretexte une envie pressante pour aller aux toilettes des femmes. Mais évidemment pour rester discrète qui arrive l’autre folle. Elle va rejoindre les mages et se taper la discute avec. Mais heureusement elle ne leur dit pas qui elle est vraiment. Quelle chance !!! pendant ce temps j’ai eu le temps de m’égorger, de m’étriper, de m’ouvrir les veines et de me lacéré de partout car là c’est pire que tout ….
Sur ce le grand elfe arrive et fait dégager Blue. Sauf que c’est pas vraiment le bon moment car cette fois j’ai une véritable dague pour me faire Hara Kiri. Malheureusement mon geste est arrété par le grand elfe. Je lui explique ce qui s’est passé.
Sur ce Lobris demande à partir pour suivre Arsène et je ne demande qu’à faire la même chose afin de m’éloigner des mages le plus vite possible.
On obtient alors un passe pour nous afin de passer la frontière tranquillement.
On prend alors plein Est et on finit par retrouver la chat, il ne doit lui rester plus beaucoup de vie s’il fait ça à chaque voyage. En continuant notre route on arrive à une ville portuaire. On est arrété par des gardes qui appellent leur chef qui sait lire. Pendant ce temps Lobris et l’un des gardes font un concours de rots, gagné par Lobris.
On peut passer même si le chat a du se faire passer pour un chat de compagnie de Lobris.
On se dirige alors vers la maison du maire car l’elfe le connaît. On nous met dans une résidence à coté de la maison de maitre. Le maire étant en conversation plus importante qu’une guerre nous sommes obligé d’attendre qu’il termine. Pendant ce temps je souhaite découvrir la personne importante est celle que je pense mais je me transperce le pied avec une branche alors pour me défouler je prends les amuses gueules pour en faire un pentacle sur la fenêtre devant un garde. Puis je fait une grande dose de tisane de camomille pour me calmer les nerfs.
Puis le repas arrive, l’elfe nous dit qu’il est épicé c’est-à-dire qu’il est piquant. J’y goûte et m’aperçois qu’il n’est pas piquant mais qu’il nous fait cracher du feu. Suite a cela Lobris va se plaindre à la cuisine suivit de l’elfe.
Plusieurs heures plus tard le maire arrive enfin. Une discussion s’ensuit ou j’ai l’impression qu’on tourne autour du pot et que le maire nous cache quelque chose. l’elfe nous met alors tous en télépathie pour qu’on puisse avoir une discussion privée en même temps que la discussion avec le maire. Il dit ne rien connaître d’Arsène mais il cache quelque chose.
Pour le coucher on prend un roulement : le mage , puis moi , puis Lobris. Et devinez qui s’est endormi ??? le mage évidemment, comme si on pouvait leur faire confiance. d’ailleur il ronfle pire qu’un camionneur.
Je réveille Lobris puis le mage pour qu’il arrete de ronfler comme un porc. Juste que lobris n’as pas été doux avec lui.

Jour +1 (ou -1 car pas d’antidépresseur) : à quoi ça sert de courir quand on peut marcher ...

Au matin on décide d’aller au port car on suppose qu’Arsène à pris un bateau. On pose alors des tas de questions et on suppose qu’il a pris le bateau afin de revenir et donc de brouiller les pistes.
Le regisseur nous apprend que le prochain bateau pour la même destination est en train de partir alors on décide de courir pour le prendre. Nous l’avons eu de justesse et l’elfe nous paye le gite. Pour les couverts je décide de payer ma part en cuisine pour les autres ils arriveront à se débrouiller je pense.
Dans la cuisine je remarque qu’une chèvre tente de rentrer mais le cuistot se dit qu’il faut la tuer. Il tente mais n’y arrive pas alors je donne un coup de pied à la chèvre pour pas qu’elle rentre et comme ils doivent la tuer ça peut aider. Puis je vais soigner le cuistot.
Puis un navire pirate arrive à l’horizon. En entandant le grabuge en haut et sentant qu’ils ne s’en sorte pass vraiment je décide de monter aider. À la sortie je tue 2 mecs d’un coup. Mais j’ai pas trop compris ce qui s’est passé ensuite car notre mat a cédé et j’ai fait un trou sur le pont ce qui a débloquer les filets qui retenait de gros trucs, et ces derniers ont fait un trou dans le bateau. Donc nous sommes en train de couler . Je décide de faire une planche puis de sauter dans l’eau. Comme d’habitude l’elfe et le mage viennent squatter ma planche tandis que le chat essaye de ne pas se mouiller sur la planche de lobris.

Ca y est? Vous êtes tous morts?

Tu sera surpris du final de la parti
Pendant les vacances, qui de dispo pour jouer ?

Euh mwa ^^

donc il faudra que l'on se bloque une date et un lieu pour ça 

Pour ceux qui voudraient faire une partie, ce serait le mardi ou le vendredi pour moi, et on pourrait commencer dans l'aprem pour finir tard. Donc n'hésitez pas à mettre vos disponibilités.