L5A Janvier 2020 - Peut-on échapper à son destin ?

Jouer un licorne ?! Et pourquoi pas un crabe tant qu'on y est ?

Quel manque de compassion pour les personnes... "différentes" !

Tu n'es pas à la page mon ami.

De nos jours, on parle de "personnes victimes d'un handicap".

Alors messieurs, lequel d'entre nous se sent l'âme d'un chroniqueur ?
Si personne n'a envie d'écrire cette semaine je le ferai.

Kami no Shiba-sama,

J'ai l'audace de me tourner vers vous et de vous implorer conseil car en ces jours si sombres car je ne puis trouver la paix de l'âme et je ne connais nul mortel vers qui me tourner pour trouver réconfort.
Les questions se bousculent dans mon coeur auxquelles je ne trouve nulle réponse :
Pourquoi devrais-je attendre un improbable regard de tendresse ou tout au moins de respect de la part de sa famille alors des inconnus vous ouvrent leurs bras et même leur coeur ?
Pourquoi chercher le prestige d'un nom qu'on vous refuse alors que d'autres se forgent un prénom dans l'indifférence des hommes mais sous le regard des dieux et dans le respect du Bushido ?
Pourquoi devrais-je épouser un homme qui m'est étranger et voudrait faire de moi une personne que je ne suis pas alors que d'autres m'accueillent telle que je suis ?
Ô Kami no Shiba-sama, j'ai conscience de l'impudence de ma requête et sans doute ne suis-je pas digne de votre intérêt ! Cette prière, du fond de ce petit village, m'est, elle-même, source de plus grand réconfort que toutes celles que j'ai pu prononcer dans les temples.

Dernière édition par Iliakou le Jeu 30 Jan 2020 - 21:59, édité 3 fois

Le bruit de la pluie,
Et rien d'autre
En cette longue nuit

Ma chère Eriko,

La première bataille de mon existence fut un succès ! Certes, les armées étaient réduites et l'ennemi de peu de gloire mais notre honneur en est ressorti grandi. Suzume Ringo, en particulier, s'est montré très courageux et même un peu trop impétueux. Celui que je ne voyais que comme l'ombre de Bayushi Giseï, s'est révélé un vrai héros à mes yeux en ce petit matin de combat. Et puis, il a tellement plus de conversation que Matsu Emon : je m'en suis aperçu alors qu'il narrait à Ronin l'épopée de Suzume Aoï lors de la bataille de la Cité Interdite. Quel conteur !

Ronin aussi possède ce mystère qui le rend attachant. Je pense en avoir appris plus sur l'homme à de petites allusions qu'il a laissé échappée.

Tu dois me prendre pour folle, chère amie, et peut-être aurais-tu raison. M'impliquer totalement à de plus nobles causes que la préparation d'un mariage bouleverse complètement ce que j'avais établi comme sûr. Mais plutôt que d'épencher devant toi les tourments de mon coeur, je devrais te narrer les derniers faits qui se sont déroulés dans le village de Quatre-Vents.

La journée avait été bien remplie mais nous avions conscience que beaucoup restait encore à fair pour assurer une défense convenable du village et avoir espoir de capturer le Taureau vivant.

La nuit fut calme et notre sommeil lourd après les événements de la veille.

Le lendemain, nous découvrit avec bonheur les paysans prêts à préparer des pièges et des fosses avec Komako. Giseï comptait bien, d'ailleurs, continuer à motiver l'équipe de terassiers.

Je n'arrive toujours pas à comprendre comment une charmante jeune fille comme Komako puisse se résoudre à mettre la main dans la boue pour aider des heimins dans des tâches aussi dégradantes.

Giseï se gardait bien, quant à lui, de souiller ses atours.

Ringo et moi poursuivimes notre entrainement de ce qu'il fallait bien appeler la "milice" du village. Je trouvais d'ailleurs nos miliciens enthousiastes mais me montrais fort mauvaise juge de leurs compétences martiales, n'étant moi-même que novice en bojutsu. Ringo semblait, quant à lui, tout à fait à son aise dans son rôle d'instructeur. Je n'ai jamais vu, avant lui, de samouraï si proche et bienveillant envers les heimins mais il est vrai que le clan Suzume fait fort peu de cas de l'étiquette, oubliant parfois la parcelle divine qui brille dans leur âme.

A l'heure du déjeuner, Ronin et Ringo tinrent conversation. Je prêtai une oreilles intéressée à leurs propos. Il était question des hauts faits de Suzume Aoï lors de la bataille de la Cité Interdite et du sacrifice qu'elle accepta afin de sauver des otages, périssant dans l'incendie d'un bâtiment. Ringo m'étonna en faisant de ce récit une fresque émouvante digne des conteurs Ikoma. Ronin parut lui aussi touché par l'histoire et encore plus ému lorsqu'il évoqua Tenshy, un individu qui combattu au côté de Suzume Aoï et lui offrit un dernier baiser à la bushi avant de partager son sacrifice.

Ronin ajouta que son grand-père avait lui aussi combattu sous les ordres de la Moineau. Je peux me tromper, Eriko, n'ayant pas le sens aussi affûté qu'un courtisan Bayushi pour décrypter l'esprit des hommes, mais il me semble que Ronin parlait de Tenshy lorsqu'il évoquait son ailleul.

je méditai un moment concentrant ma mémoire sur les obscures écrits que j'avais lu lire sur cette période de notre histoire : le nom de Sepun Tenshy me revint. Cet officier impérial rompit ses voeux envers son empereur pour mettre son bras au service de l'empire.

Un tel ancêtre correspond tout à fait à cet homme.

Alors que Ringo nous narrait cette histoire, nous vîmes passer Giseï, suivi de Komako et un paysan à la mine déconfite. Giseï marchait à grands pas en direction de la maison de Magari.

Je me sens voyeur à lire la correspondance d'une jeune femme, mais c'est très plaisant.

En fait, je suis très fleur bleu sous mes airs de vieux crouton aigri !!! Very Happy

Note à nos petits camarades : n'hésitez pas à vous exprimer. Nos compte-rendus peuvent se complèter et même se contredire, ce n'est pas grave.

Le romantisme est un art. Et comme tout art il ne peut être pleinement maitrisé que par quelqu'un ayant reçu la sagesse (et les tempes blanches) de nombreux hivers.

Comme je voudrais croire ces mots plein de miel ! C'est agréable à lire, en tout cas.

Et maintenant, les cocos, vous allez vous enlever le ... du ... et nous rédiger un compte-rendu plein de poésie, b... de m... ???? !!!!

C'est, bien sûr, un trait d'humour !

La guêpe produit aussi du miel. Mais contrairement à sa cousine, elle ne s'en sépare jamais sans raison.

Il fait peur ton trait d'humour ojiisan

Miya-dono, je vous salue et espère que la contemplation du balai des feuilles mortes dans le vent vous apporte la sérénité.

À mon grand désespoir je sollicite votre attention pour vous faire part d'un affront qui me parait inacceptable.
Mes compagnons et moi-même nous trouvons actuellement au village de Quatre-Vents, où nous nous faisons forts de défendre vos terres. En effet celle-ci sont lâchement rapinée, durant votre nécessaire séjour à la cité impériale, par un maladrin se faisant appeler Oni-Hanzo. Celui-ci semble porter une attention toute particulière à ce petit village depuis un an désormais.
Les paysans nous disait ne pas comprendre pourquoi les kamis leur infligent une telle épreuve. Or j'ai appris ce matin même qu'ils avaient refusé d'aider les villageois de Rocher-Rouge quand leur grenier avait brulé l'an passé, et donc qu'ils n'étaient pas victimes du mauvais sort mais de représailles !
Entendons nous, je ne reproche pas à ces hennins d'avoir agi sans le moindre honneur (c'est dans la nature des êtres de basse extraction). Mais la matriarche du village nous a menti éhontément, et à plusieurs reprises, alors même que je la confrontais !
En agissant de la sorte, et en demandant l'aide de samurai de passage et d'un ronin plutôt que celle de son légitime seigneur, elle insulte l'honneur de tous les Miya, tentant de vous faire passer pour des samurai incapables de s'occuper de leurs terres et de défendre leur peuple !
Il est désormais trop tard pour que vous arriviez à temps, nous allons donc nous occuper de ce démon et de ses hommes. Vos terres seront protégées et la vermines chassées, je peux vous l'assurer.
Je ne peux cependant pas supporter un tel affront et en appelle à votre justice Miya-dono. Je sais que l'honneur guide vos actes et que vous ne laisserez pas de telles actions impunies.

J'espère que le vent de l'hiver à venir chassera bientôt de nos têtes ces mauvais moments et que vous pourrez retrouver la sérénité de votre domaine

Bayushi Gisei

Ma chère Eriko,
Ce sont des hennissements de chevaux et des jurons bruyants qui nous ont avertis que le piège avait fonctionné et que l'attaque était éminente. Ringo lança l'alarme.C'était son tour de garde. Je l'avais trouvé fébrile la veille, alors que nous organisions les quarts : le bushi avait dû anticiper la frappe.
Il était déjà en train de défier le Taureau dans la brume du petit jour naissant alors que je sortais de la maison. Une vingtaine de cavaliers mettaient pied à terre, manœuvraient une charrette ou chargeaient vers le village sur l'ordre du Taureau qui se mettait en défense pour recevoir les assauts de Ringo. J'invoquai les kami de l'air pour qu'ils bousculent le plus de bandits possible. Le vide passa sur mon âme comme un tsunami et les derniers souvenirs que je garde du combat furent les invectives de Giseï, dont j'ignorais jusqu'à l'existence auparavant. Lorsque je repris connaissance, le Taureau et une partie de ses troupes battaient en retraite. Les autres avaient été roués de coups par les paysans du village. Stoïque, Ringo tentait de masquer les blessures que le Taureau lui avait infligé. Je me précipitai pour le soigner.
C'est alors qui nous nous rendimes compte de l'absence de Ronin.

Journal personnel
Ronin - Chapitre 29
Automne 1180 - Règne de l'impératrice Iweko I

Pensées éparses

Amusante constatation. J'ai connu bien des hauts et des bas au cours de mon existence, mais l'envie d'écrire est restée une constante. Dérisoire tentative de conserver sur le papier une trace d'évènements que tout le monde aura oublié dans quelques décennies seulement.

Quatre-Vents n'est qu'un point sur une carte. Peu de gens savent où se trouve ce village, et encore moins s'en préoccupent. Quelle importance peut-on donc donner à ses habitants ?

Cela fait déjà longtemps que je suis parvenu à la conclusion que l'âme d'un paysan est fondamentalement la même que celle d'un samuraï. Elle ne vaut ni moins, ni davantage.
Sujet à aborder avec Sakura, je serais curieux d'avoir son avis sur la question.

Sakura. De tout le groupe, elle est étonnamment celle qui a le plus de chances de partager mes idées. Je devine qu'elle n'a guère envie de rentrer chez elle. Devoir et soif de liberté sont par définition opposés.
Reste qu'elle est toujours enfermée par le carcan de son éducation. Je crois l'avoir un peu troublée en voyant un sous-entendu dans son histoire de maniement du bâton là où il n'y en avait pas. Mes anciennes fréquentations des marins du clan de la Tortue ont laissé des traces...

Giseï. Pragmatique et ambitieux. Combinaison risquée, qui mène soit à la chute, soit à la gloire. J'en sais quelque chose. Peu d'occasions de discuter avec lui pour l'instant. Une leçon sur la maitrise de ses émotions pourrait lui être profitable, il s'est laissé emporter en frappant la vieille Magari.

Cela dit, je l'aurais volontiers fait moi-même en sachant de quoi elle s'est rendue coupable. L'hypocrisie est certainement le défaut que je méprise le plus.

Ringo. Courageux, et même téméraire. La façon dont il s'est attaqué seul au Taureau est très impressionnante, mais également peu réfléchie. Je reconnais la valeur d'un sacrifice, mais une mort inutile n'avancerait pas notre cause, bien au contraire.
Et puis il m'a donné tort. Le clan Suzume se souvient de l'histoire d'Aoï et de Tenshy. La mémoire d'un clan dépasse celle de l'individu.

Komako. J'ai un peu de mal à la cerner. Douée, déterminée à retrouver son père. Mais c'est là la grande inconnue. Supposons qu'Oni Hanzo l'ai conservé comme otage, comment réagira-t-elle ? Mes plans ne vont pas plus loin, pour l'instant, que le moment où nous découvrons l'emplacement de son campement. Il va falloir réfléchir à la suite.

L'autre inconnue, ce sont les nezumis. Komako a justement découvert des traces, juste à côté de la maison où nous dormions. Quelles sont leurs intentions ? Ils n'ont rien tenté d'hostile, mais continuent de roder dans la région. Les autres préfèrent se tenir sur leurs gardes, ce que je ne peux qu'approuver.

Après avoir été repoussé, Osuuchi le Taureau et ses hommes se sont repliés à l'abri d'un bosquet, au Sud. Je suis parti devant pour m'assurer qu'ils ne tenteraient pas de s'enfuir complètement, même si c'était peu probable. On ne retourne pas voir un homme comme Oni Hanzo les mains vides.

Les autres ont décidé d'exploiter leur avantage, et de prendre le Taureau de vitesse en agissant les premiers. Une attaque surprise est prévue pour ce soir. L'obscurité peut favoriser nos plans. Reste à voir comment réagiront les bandits quand ils réaliseront qu'ils sont encerclés.

Obaa-chan,
Je t'écris car j'ai besoin de tes conseils.

J'ai hier assisté à ma première bataille (si on peut appeler ainsi l'affrontement d'une cinquantaine de gueux et de bandits).
Tout se passa comme dans les contes. Nous fûmes réveillés à l'aube par les hennissements d'un cheval tombé dans notre piège (je suis d'ailleurs surpris que mes camarades aient accepté d'utiliser un stratagème si peu honorable (il faudra que je te parle d'eux un jour, ils sont tous très compétents dans leur domaine (et très amusants également je dois l'admettre))).
Mais je m'égare, comme toujours.
Ringo alla le premier à la rencontre de nos visiteurs, plus précisément de leur chef (un géant fort bien dénommé le Taureau). Mon garde du corps d'ami semblait extrêmement déterminé, et je ne sus sur le moment dire si cette confiance était une preuve de courage ou de témérité.
Les autres se dépêchèrent de le rejoindre tandis que je me dirigeais vers les villageois que le bruit avait réveillés, mais qui ne semblaient pas savoir comment réagir (ces gens sont nés pour obéir et cela se voit).
Je n'avais pas encore rejoint notre milice paysanne que Ringo essayait déjà de mettre fin au débat l'opposant à son interlocuteur bovin de manière tranchante (la témérité donc), sans succès malheureusement.
Ce fut le signal pour que chaque camp fonde sur l'autre. Sakura invoqua les kamis qui projetèrent à terre nos ennemis (et la laissèrent en pleine...méditation), tandis que Kamako-chan provoquait la panique parmi les montures des bandits grâce à ses traits dévastateurs (cette petite ira loin si elle continue ainsi).
Ces actions d'éclats me permirent de motiver les hemins qui se jetèrent sur les hommes encore au sol. Je fus grisé par la frénésie du moment. J'étais comme un maître chien envoyant sa meute à la curée. J'avais presque l'eau à la bouche et faillis me joindre à eux.
J'avais presque perdu le contrôle et lorsque je voulus provoquer le Taureau (pour le distraire de Ringo qui était blessé) ce fut avec des propos d'une violence et d'une bassesse qui aurait fait rougir un charretier.
Le combat pris heureusement fin peu après grâce à l'habileté de mes compagnons qui forcèrent les bandits à la fuite (non sans laisser derrière eux leurs trois camarades morts, ainsi que les deux charrettes et attelages qui devaient servir à emporter leur butin).

Comme dans un conte es paysans avaient vaincu les scélérats, aidé par leurs alliés samurai.

Malheureusement je ne t'ai pas encore conté le pire...
La veille dans la journée, je perdis mon sang-froid devant la matriarche du village qui tentait de me manipuler...et l'ai giflée ! Je ne sais pas ce qui se serait passé si Ringo ne m'avait pas arrêté.

Je ne sais pas quoi faire Obaa-chan. Je suis un Bayushi, je ne peux pas perdre mes nerfs ainsi, je ne peux pas répondre à l'appel de l'épée. Je vaux mieux que ça. Je ne suis pas comme mon père, je refuse d'être comme lui ! Mais aurais-je la force de lutter contre mon sang ?
Tu m'as enseigné la maîtrise de mes émotions, mais je ne suis visiblement pas encore maître en cet art, et aujourd'hui plus que jamais j'ai besoin de tes conseils.

J'espère que tu te portes bien et prie tous les jours pour ta santé

Gisei

Soldat du Rang Messages : 28 Date d'inscription : 10/11/2018

Okāsan,

Le Ronin dont je t’avais parlé autrefois m’a reconvoqué au village des quatre vents, un modeste village aux croisements des routes entre le Kyuden Miya et le pays de la licorne. Il me dit qu’il a des pistes concernant Otōsan : il serait parti à la poursuite d’un certain Oni-Hanzo, un homme à la tête d’un groupe de bandits dans la région. Et c’est lors de cette traque qu’il a disparu… Mais je sens que nous sommes proches moi et notre groupe de samurais de retrouver la vérité sur ce qui lui est arrivé.
Je n’ai pour l’instant aucune information concernant sa condition… Je ne peux qu’espérer.
Mais je marche la boule au ventre, que vais-je trouver au bout de cette aventure ? Vais-je seulement le retrouver ? Je ne te cache pas que j’ai un mauvais pressentiment sur cette histoire… Espérons que je me trompe.

Je t’écrirais dès que j’ai du nouveau, 窮すれば通ず (Kyu sureba tsu zu), prions pour que les kami nous soient favorables.

Koma-chi

Nous allons finir par devoir engager un coursier personnel si nous continuons à écrire autant de lettres.
Je propose de l'appeler le "速いユニコーン" (hayai yunicoon) je suis sûr que ce sera très utile.

Soldat du Rang Messages : 28 Date d'inscription : 10/11/2018

En effet, ça fait beaucoup de lettres. On dira qu'on envoie nos lettres par corbeau.

J'ai envie de dire que, collectivement, on a vachement bien bossé.
Un MJ généreux, dont le nom est vénéré de table en table, en profiterait pour récompenser cet effort mutualisé par quelques points d'expérience accordés aux chroniqueurs.
Il paraît que ça se fait...
Rolling Eyes

Tu es sûr qu'il n'y a pas du sang de nesumi qui traîne dans les veines des phénix ?

Ne redis JAMAIS ça ! Mon amitié ne doit pas être un feu de paille...

Alors les kamis c'est de la triche, mais il faut reconnaître que ça a de la gueule quand-même.

Les kamis, de la triche ???? Je connais des régoristes de la religion qui serait heureux que tu en dises plus sur le sujet... assis sur un bûcher.

Je sais que ce genre de vieux prélats ne rêvent souvent que de réchauffer l'intimité de jeunes éphèbes de ma qualité. Mais je crains de devoir refuser leurs avances.

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